Dinocrocuta gigantea - Crâne fossile - 41 cm - 25.5 cm





| 5 265 € | ||
|---|---|---|
| 90 € | ||
| 85 € | ||
Protection des acheteurs Catawiki
Votre paiement est en sécurité chez nous jusqu’à la réception de votre objet.Voir les informations
Trustpilot 4.4 | 122115 d’avis
Noté Excellent sur Trustpilot.
Description fournie par le vendeur
Dinocrocuta était un membre colossal de la famille des hyènes, un charognard et un prédateur de sommet qui parcourait les plaines ouvertes du Miocène supérieur. Légèrement plus grand qu’un lion africain moderne, il possédait un crâne et des mâchoires extrêmement robustes capables de broyer des os épais — une caractéristique qui lui a valu le surnom de « géant casse-os ».
Contrairement aux hyènes tachetées d'aujourd'hui, Dinocrocuta avait un museau plus court, des pommettes massives et des dents épaissies adaptées pour casser les os afin d'en extraire la moelle, ce qui lui permettait de prospérer dans des écosystèmes compétitifs partagés avec des félins à dents de sabre et des canidés primitifs.
Les preuves fossiles révèlent que Dinocrocuta était parmi les hyénidés les plus grands jamais connus, dépassant peut-être 200 kilogrammes. Sa force de morsure immense et sa domination lors de la charogne en faisaient l’un des carnivores les plus redoutables de l’époque du Miocène.
Ce spécimen présente un crâne massif, comme le montre la troisième image à côté d’un crâne de Machairodus mesurant environ 30 cm pour comparaison. Ce qui le rend particulièrement remarquable, c’est la paire de canines complètement intacte, magnifiquement tachée par une minéralisation bleu-vert, conférant au crâne une apparence encore plus imposante et majestueuse.
Ce Dinocrocuta a probablement été victime de scavenging ou a été décomposé après sa mort il y a des millions d'années. Lors de la préparation, la partie postérieure gauche du crâne manquait, ajoutant une dimension narrative à l'échantillon. Environ 5 % de celui-ci a été restauré, et une partie de la matrice a été intentionnellement conservée pour faciliter la montage et l'exposition.
Je recommande sincèrement cet échantillon de fossile soigneusement préparé à tous les collectionneurs et passionnés.
Dinocrocuta était un membre colossal de la famille des hyènes, un charognard et un prédateur de sommet qui parcourait les plaines ouvertes du Miocène supérieur. Légèrement plus grand qu’un lion africain moderne, il possédait un crâne et des mâchoires extrêmement robustes capables de broyer des os épais — une caractéristique qui lui a valu le surnom de « géant casse-os ».
Contrairement aux hyènes tachetées d'aujourd'hui, Dinocrocuta avait un museau plus court, des pommettes massives et des dents épaissies adaptées pour casser les os afin d'en extraire la moelle, ce qui lui permettait de prospérer dans des écosystèmes compétitifs partagés avec des félins à dents de sabre et des canidés primitifs.
Les preuves fossiles révèlent que Dinocrocuta était parmi les hyénidés les plus grands jamais connus, dépassant peut-être 200 kilogrammes. Sa force de morsure immense et sa domination lors de la charogne en faisaient l’un des carnivores les plus redoutables de l’époque du Miocène.
Ce spécimen présente un crâne massif, comme le montre la troisième image à côté d’un crâne de Machairodus mesurant environ 30 cm pour comparaison. Ce qui le rend particulièrement remarquable, c’est la paire de canines complètement intacte, magnifiquement tachée par une minéralisation bleu-vert, conférant au crâne une apparence encore plus imposante et majestueuse.
Ce Dinocrocuta a probablement été victime de scavenging ou a été décomposé après sa mort il y a des millions d'années. Lors de la préparation, la partie postérieure gauche du crâne manquait, ajoutant une dimension narrative à l'échantillon. Environ 5 % de celui-ci a été restauré, et une partie de la matrice a été intentionnellement conservée pour faciliter la montage et l'exposition.
Je recommande sincèrement cet échantillon de fossile soigneusement préparé à tous les collectionneurs et passionnés.

