Nr. 81487247

Eladva
Findakly [ed.] - L'Or des amazones / Du fleuve rouge au Mekong / Ikebana - 2001-2014
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Findakly [ed.] - L'Or des amazones / Du fleuve rouge au Mekong / Ikebana - 2001-2014

L'Or des amazones (2001) Entre le VIe siècle av. J.-C. et l'aube du haut Moyen Age, sur les terres où la tradition antique situe les légendaires Amazones, deux mondes se rencontrent : celui des cavaliers nomades chevauchant sans fin vers l'ouest depuis les profondeurs de l'Asie et celui des navigateurs aventureux, des Grecs venus de Méditerranée, qui bientôt fondent des cités. Au voisinage de ports où aboutissent des itinéraires caravaniers sillonnant les steppes jusqu'en Bactriane et aux frontières de la Chine, ces nomades, Scythes, Sauromates, puis Sarmates, ont laissé des sépultures d'une extraordinaire richesse. Fruits de fouilles parfois très récentes, ces objets exceptionnels, conservés dans les musées du Sud de la Russie sont ici réunis pour la première fois. Miroirs chinois, torques massifs, harnachements de parade, pièces d'orfèvrerie barbares rehaussés de pierres fines y côtoient de fragiles verreries, des émaux, et une somptueuse vaisselle d'or et d'argent dont les images illustrent, entre autres, dans la plus raffinée des traditions classiques, les ébats des Néréides ou l'histoire d'Amour et Psyché. Les 15 000 objets inventoriés font mesurer l'importance de cet héritage pour un Occident alors en gestation. Entre Asie et Europe, Antiquité et Moyen Age, civilisation classique et " barbarie " moderne, les nomades ont été de prodigieux passeurs. DU FLEUVE ROUGE AU MEKONG-VISIONS DU VIET-NAM-MUSEE CERNUSCHI (2012) Dans la seconde moitié du XIXe siècle, les récits des explorateurs et des archéologues qui redécouvrent Angkor et les grands sites de l'Asie du Sud-Est fascinent nombre de peintres français ; ils entreprennent alors le grand voyage vers les paysages de l'Indochine et ses cultures aussi anciennes que raffinées. En métropole, les expositions universelles et coloniales familiarisent le public avec l'Orient extrême. En 1921, le hasard d'une mission conduit le peintre Victor Tardieu au Tonkin ; séduit, il s'installe à Hanoï où il fonde l'Ecole des beaux-arts de l'Indochine qu'il dirigera jusqu'à sa mort. Dans le cadre de la colonisation française, l'Ecole s'appuie sur les peintres récipiendaires du prix de l'Indochine pour y développer l'enseignement des pratiques artistiques occidentales. De jeunes Vietnamiens tirent parti avec talent des nouveaux matériaux mis à leur disposition et inventent un style original, combinant les traditions asiatiques de laque et de soie à leurs nouveaux acquis. Du fleuve Rouge au Mékong présente un large éventail de soixante-quinze oeuvres de plus de quarante artistes vietnamiens et français, sculpteurs, peintres et laqueurs. Ikebana au musée Cernuschi: Shuho, maître d'ikebana (2014) Cet ouvrage est né de la rencontre entre Shuhō, Maître d'Ikebana au sein du temple Ginkaku Jishōji (pavillon d'Argent) de Kyōto et de la collection de vases à fleurs japonais en bronze du musée Cernuschi qui n'avaient pas été utilisés depuis leur départ du Japon en 1872. 31 vases sont ici répertoriés bel ensemble

Nr. 81487247

Eladva
Findakly [ed.] - L'Or des amazones / Du fleuve rouge au Mekong / Ikebana - 2001-2014

Findakly [ed.] - L'Or des amazones / Du fleuve rouge au Mekong / Ikebana - 2001-2014

L'Or des amazones (2001)
Entre le VIe siècle av. J.-C. et l'aube du haut Moyen Age, sur les terres où la tradition antique situe les légendaires Amazones, deux mondes se rencontrent : celui des cavaliers nomades chevauchant sans fin vers l'ouest depuis les profondeurs de l'Asie et celui des navigateurs aventureux, des Grecs venus de Méditerranée, qui bientôt fondent des cités. Au voisinage de ports où aboutissent des itinéraires caravaniers sillonnant les steppes jusqu'en Bactriane et aux frontières de la Chine, ces nomades, Scythes, Sauromates, puis Sarmates, ont laissé des sépultures d'une extraordinaire richesse. Fruits de fouilles parfois très récentes, ces objets exceptionnels, conservés dans les musées du Sud de la Russie sont ici réunis pour la première fois. Miroirs chinois, torques massifs, harnachements de parade, pièces d'orfèvrerie barbares rehaussés de pierres fines y côtoient de fragiles verreries, des émaux, et une somptueuse vaisselle d'or et d'argent dont les images illustrent, entre autres, dans la plus raffinée des traditions classiques, les ébats des Néréides ou l'histoire d'Amour et Psyché. Les 15 000 objets inventoriés font mesurer l'importance de cet héritage pour un Occident alors en gestation. Entre Asie et Europe, Antiquité et Moyen Age, civilisation classique et " barbarie " moderne, les nomades ont été de prodigieux passeurs.

DU FLEUVE ROUGE AU MEKONG-VISIONS DU VIET-NAM-MUSEE CERNUSCHI (2012)
Dans la seconde moitié du XIXe siècle, les récits des explorateurs et des archéologues qui redécouvrent Angkor et les grands sites de l'Asie du Sud-Est fascinent nombre de peintres français ; ils entreprennent alors le grand voyage vers les paysages de l'Indochine et ses cultures aussi anciennes que raffinées. En métropole, les expositions universelles et coloniales familiarisent le public avec l'Orient extrême. En 1921, le hasard d'une mission conduit le peintre Victor Tardieu au Tonkin ; séduit, il s'installe à Hanoï où il fonde l'Ecole des beaux-arts de l'Indochine qu'il dirigera jusqu'à sa mort. Dans le cadre de la colonisation française, l'Ecole s'appuie sur les peintres récipiendaires du prix de l'Indochine pour y développer l'enseignement des pratiques artistiques occidentales. De jeunes Vietnamiens tirent parti avec talent des nouveaux matériaux mis à leur disposition et inventent un style original, combinant les traditions asiatiques de laque et de soie à leurs nouveaux acquis. Du fleuve Rouge au Mékong présente un large éventail de soixante-quinze oeuvres de plus de quarante artistes vietnamiens et français, sculpteurs, peintres et laqueurs.

Ikebana au musée Cernuschi: Shuho, maître d'ikebana (2014)
Cet ouvrage est né de la rencontre entre Shuhō, Maître d'Ikebana au sein du temple Ginkaku Jishōji (pavillon d'Argent) de Kyōto et de la collection de vases à fleurs japonais en bronze du musée Cernuschi qui n'avaient pas été utilisés depuis leur départ du Japon en 1872. 31 vases sont ici répertoriés

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