Nr. 82146461

Eladva
Signé; Mecislas Goldberg - Vers l'Amour - 1899
Végső licit
€ 283
10 héttel ezelőtt

Signé; Mecislas Goldberg - Vers l'Amour - 1899

MECISLAS GOLBERG VERS L'AMOUR - Statues suivi de trois nouvelles : Mon Héros - Légende de l'Homme - Homicide Edité à Paris Librairie Taitbout ALBERT WOLFF Editeur 1899 Signé et dédicacé par l'auteur Livre rare en tres bon état, usure naturelle de la reliure mais intérieur très frais. Mécislas Golberg ou Mécislas Goldberg1, né le 21 octobre 1869 à Płock (Pologne russe) et mort le 28 décembre 1907 en son domicile à Fontainebleau, est un poète, dramaturge, critique d'art, journaliste et essayiste libertaire d'origine polonaise qui écrit son œuvre en français. Dès 1899, il se réclame du sionisme libertaire. Un arrêté d’expulsion ayant été pris contre lui le 26 décembre 1896, il part pour Londres où il est emprisonné pour ses activités anarchistes. Il obtient finalement un permis de séjour à Paris, sous réserve de bonne conduite. Il se consacre alors à la littérature. Tout en étant régulièrement expulsé de France pour activités indésirables à la vie politique, il collabore, sous pseudonymes, à des journaux et à des revues : L'Aurore, Le Courrier social illustré, Les Droits de l'homme où il rejoint la lutte dreyfusarde et initie la publication du Livre d'hommage des Lettres françaises à Émile Zola, Le Festin d'Ésope de Guillaume Apollinaire, Le Flambeau, Germinal, La Jeune Champagne, Le Libertaire de Sébastien Faure, Le Libre, Mercure de France, L'Œuvre sociale, La Plume où il rencontre notamment André Salmon, La Renaissance, La Revue internationale de sociologie, Les Temps nouveaux de Jean Grave, etc. Sur le trimard, « organe des sans-travail » Le 4 juillet 1895, il fonde la revue libertaire, Sur le trimard, « organe des sans-travail ». Pour lui, le vrai prolétaire est celui qui n’a rien à perdre comme rien à attendre de la société actuelle : « la Révolution sociale ne pouvait être l’œuvre du Quatrième État, organisé et hiérarchisé avec ses syndicats et ses groupes politiques, mais bien du Cinquième État que constituaient les irréguliers du travail, les ouvriers disqualifiés, les vagabonds réfractaires et trimardeurs ». En juillet 1907, L'Abbaye, une fraternité d'artistes installée à Créteil, réimprime ses Cahiers mensuels originellement publiés en 1900. Cette même communauté publie ensuite son traité De l'esprit dialectique. Il compte parmi ses amis Jean Moréas, Antoine Bourdelle (qui sculpte son buste), Camille Claudel, André Gide, Max Jacob, Henri Matisse, Henri de Régnier, Henri-Pierre Roché, Auguste Rodin, Jules Romains, Séverine, Edmond-Marie Poullain, etc. Il est, en son temps, l'un des écrivains les plus représentatifs de l'anarchisme. Il meurt de la tuberculose, peu avant la parution de La morale des lignes, étude inspirée et illustrée par des dessins d'André Rouveyre (la suite Carcasses divines), présentée comme un traité d'esthétique pré-cubiste.

Nr. 82146461

Eladva
Signé; Mecislas Goldberg - Vers l'Amour - 1899

Signé; Mecislas Goldberg - Vers l'Amour - 1899

MECISLAS GOLBERG
VERS L'AMOUR - Statues
suivi de trois nouvelles : Mon Héros - Légende de l'Homme - Homicide

Edité à Paris Librairie Taitbout
ALBERT WOLFF Editeur
1899
Signé et dédicacé par l'auteur

Livre rare en tres bon état, usure naturelle de la reliure mais intérieur très frais.

Mécislas Golberg ou Mécislas Goldberg1, né le 21 octobre 1869 à Płock (Pologne russe) et mort le 28 décembre 1907 en son domicile à Fontainebleau, est un poète, dramaturge, critique d'art, journaliste et essayiste libertaire d'origine polonaise qui écrit son œuvre en français.

Dès 1899, il se réclame du sionisme libertaire.

Un arrêté d’expulsion ayant été pris contre lui le 26 décembre 1896, il part pour Londres où il est emprisonné pour ses activités anarchistes. Il obtient finalement un permis de séjour à Paris, sous réserve de bonne conduite. Il se consacre alors à la littérature.

Tout en étant régulièrement expulsé de France pour activités indésirables à la vie politique, il collabore, sous pseudonymes, à des journaux et à des revues : L'Aurore, Le Courrier social illustré, Les Droits de l'homme où il rejoint la lutte dreyfusarde et initie la publication du Livre d'hommage des Lettres françaises à Émile Zola, Le Festin d'Ésope de Guillaume Apollinaire, Le Flambeau, Germinal, La Jeune Champagne, Le Libertaire de Sébastien Faure, Le Libre, Mercure de France, L'Œuvre sociale, La Plume où il rencontre notamment André Salmon, La Renaissance, La Revue internationale de sociologie, Les Temps nouveaux de Jean Grave, etc.
Sur le trimard, « organe des sans-travail »

Le 4 juillet 1895, il fonde la revue libertaire, Sur le trimard, « organe des sans-travail ». Pour lui, le vrai prolétaire est celui qui n’a rien à perdre comme rien à attendre de la société actuelle : « la Révolution sociale ne pouvait être l’œuvre du Quatrième État, organisé et hiérarchisé avec ses syndicats et ses groupes politiques, mais bien du Cinquième État que constituaient les irréguliers du travail, les ouvriers disqualifiés, les vagabonds réfractaires et trimardeurs ».

En juillet 1907, L'Abbaye, une fraternité d'artistes installée à Créteil, réimprime ses Cahiers mensuels originellement publiés en 1900. Cette même communauté publie ensuite son traité De l'esprit dialectique.

Il compte parmi ses amis Jean Moréas, Antoine Bourdelle (qui sculpte son buste), Camille Claudel, André Gide, Max Jacob, Henri Matisse, Henri de Régnier, Henri-Pierre Roché, Auguste Rodin, Jules Romains, Séverine, Edmond-Marie Poullain, etc.

Il est, en son temps, l'un des écrivains les plus représentatifs de l'anarchisme.

Il meurt de la tuberculose, peu avant la parution de La morale des lignes, étude inspirée et illustrée par des dessins d'André Rouveyre (la suite Carcasses divines), présentée comme un traité d'esthétique pré-cubiste.


Keresési riasztás beállítása
Állítson be keresési riasztást, hogy értesítést kapjon, ha új találatok válnak elérhetővé.

Ez a tárgy a következőben szerepelt:

                                        
                                                                                                    
                    
                                        
                                                                                                    
                    
                                        
                                                                                                    
                    

Hogyan vásárolhatok a Catawiki-n?

Tudjon meg többet a Vevővédelmünkről

      1. Fedezzen fel valami különlegeset

      Böngésszen a szakértők által kiválasztott több ezer különleges tárgy között. Tekintse meg az egyes különleges tárgyak fényképeit, részleteit és becsült értékét. 

      2. Tegye meg a legmagasabb licitet

      Találjon valamit, ami igazán tetszik, és tegye meg a legmagasabb licitet. Követheti az árverést egészen a végéig, vagy hagyhatja, hogy a rendszerünk végezze el Ön helyett a licitálást. Mindössze annyit kell tennie, hogy beállítja a licitet a maximálisan kifizetni kívánt összegre. 

      3. Fizessen a biztonságos és védett rendszert használva

      Fizessen a különleges tárgyért, és mi védett rendszerben megőrizzük az összeget, amíg a tárgy biztonságosan meg nem érkezik Önhöz. Megbízható fizetési rendszert használunk az összes tranzakció kezelésére. 

Eladna valami hasonlót?

Akár új az online árverések világában, akár professzionálisan értékesít, mi segíthetünk abban, hogy jobb áron adja el különleges tárgyait.

Tárgy eladása