Charles Baudelaire - Lettre autographe signée adressée à sa mère - 1842





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Επούλη γραφή Charles Baudelaire προς τη μητέρα του, χρονολογημένο στο Παρίσι, μέσα Νοεμβρίου 1842, τέσσερις σελίδες σε μορφή in-12, γραμμένο στα γαλλικά.
Περιγραφή από τον πωλητή
BAUDELAIRE, Charles (1821-1867)
Lettre autographe signée « C. Baudelaire » adressée à sa mère.
S.l., n.d. [Paris, mi-novembre 1842].
4 pages in-12 (166 × 110 mm), encre sépia sur un double feuillet.
Adresse au verso : « 136 rue de Grenelle St-Germain madame Aupick ».
Trois pliures anciennes, légères rousseurs, cachet de cire partiellement conservé.
Provenance : ancienne collection Armand Godoy / CHRISTIE’S – Collection Patrice Trigano Vente du 5 juillet 2005 (Lot N°3) / Collection privée
Touchante lettre du jeune Baudelaire à sa mère, mêlant affection, gêne et humour.
Âgé de vingt et un ans, tout juste majeur, Baudelaire s’excuse :
« Ma chère mère, je suis désolé de t’affliger encore pour le moment. Mais si tu veux les motifs entre autres la privation totale de pantalon et de chapeau pour le moment m’empêchent d’aller à l’École… »
Le jeune homme, alors élève à l’École d’application d’État-major, confie sa situation embarrassante avec une tendresse mêlée d’ironie ; il joint à sa lettre une attention délicate :
« …pour te prouver que je ne suis pas un méchant, et que je pense à toi, je t’ai envoyé ce matin des pendentifs d’oreilles qui pourront festoyer ton nouveau domicile à la prochaine occasion. Ne me gronde pas, c’est de l’argent rendu sur lequel je ne compte plus »
C’est la dernière lettre connue écrite depuis l’École; peu après, le 11 novembre 1842, le général Aupick et Mme Baudelaire s’installent place Vendôme.
Référence : Baudelaire, Correspondance 1832-1860, texte établi, présenté et annoté par Claude Pichois avec la collaboration de Jean Ziegler, Bibliothèque de la Pléiade, t. I, p. 97 et 746.
Ιστορία πωλητή
Μετάφραση από Google ΜετάφρασηBAUDELAIRE, Charles (1821-1867)
Lettre autographe signée « C. Baudelaire » adressée à sa mère.
S.l., n.d. [Paris, mi-novembre 1842].
4 pages in-12 (166 × 110 mm), encre sépia sur un double feuillet.
Adresse au verso : « 136 rue de Grenelle St-Germain madame Aupick ».
Trois pliures anciennes, légères rousseurs, cachet de cire partiellement conservé.
Provenance : ancienne collection Armand Godoy / CHRISTIE’S – Collection Patrice Trigano Vente du 5 juillet 2005 (Lot N°3) / Collection privée
Touchante lettre du jeune Baudelaire à sa mère, mêlant affection, gêne et humour.
Âgé de vingt et un ans, tout juste majeur, Baudelaire s’excuse :
« Ma chère mère, je suis désolé de t’affliger encore pour le moment. Mais si tu veux les motifs entre autres la privation totale de pantalon et de chapeau pour le moment m’empêchent d’aller à l’École… »
Le jeune homme, alors élève à l’École d’application d’État-major, confie sa situation embarrassante avec une tendresse mêlée d’ironie ; il joint à sa lettre une attention délicate :
« …pour te prouver que je ne suis pas un méchant, et que je pense à toi, je t’ai envoyé ce matin des pendentifs d’oreilles qui pourront festoyer ton nouveau domicile à la prochaine occasion. Ne me gronde pas, c’est de l’argent rendu sur lequel je ne compte plus »
C’est la dernière lettre connue écrite depuis l’École; peu après, le 11 novembre 1842, le général Aupick et Mme Baudelaire s’installent place Vendôme.
Référence : Baudelaire, Correspondance 1832-1860, texte établi, présenté et annoté par Claude Pichois avec la collaboration de Jean Ziegler, Bibliothèque de la Pléiade, t. I, p. 97 et 746.

