2022 Bernard Bonin "Initiales B.B." - 勃艮第 - 1 Bottle (0.75L)





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Bernard Bonin“Initiales B.B.”勃艮第白葡萄酒2022,0.75 L 瓶,1 瓶。
卖家的描述
Notes d'huile d'orange, de poire, de pain grillé blanc, de fleurs blanches séchées et de levure sauvage introduisent le Bourgogne Blanc Initiales B.B. 2022, un vin mi-corps à corsé, vif, ouvert et expressif, avec des acides acidulés et une structure crayeuse.
Wine Advocate
2018 a été ma première visite à l'une des adresses les plus discutées de la Côte de Beaune, et ce fut un plaisir de déguster avec Véronique Bonin et Nicolas Bernard. Commencée avec six hectares, hérités par Véronique de la famille Michelot dont elle est une descendante, elle est aujourd'hui étendue à neuf hectares, complétés par d'autres cessions de la même source. Pratiquant l'agriculture biologique dès le départ, avec une certification Demeter prévue pour 2021, les traitements sont biodynamiques. Bernard et Bonin ont expliqué qu'ils privilégient un cycle de pressurage de deux heures et demie, avec une rotation toutes les 15 minutes, afin d'extraire du peaux. Le moût obtenu est mis en barrique le lendemain, sans ajout de dioxyde de soufre, et les mêmes barriques sont toujours utilisées pour les mêmes appellations (« le bois garde l'empreinte du vin », souligne Véronique). Les fermentations sont lentes, avec des bâtonnages épisodiques déterminés par le goût, et les vins restent 16 à 18 mois sur lies. Le soufre n'est ajouté qu'au moment du débourbage en cuve (strictement selon le calendrier lunaire — les lecteurs remarqueront que la lune figure en bonne place sur l'étiquette du domaine) avant la mise en bouteille, le domaine visant environ 30 parties par million de dioxyde de soufre libre à la mise. Tout cela a fait de ce domaine un favori du mouvement des vins naturels — encore quelque peu marginal en Côte d'Or. Certains des cuvées que nous avons dégustées présentaient d'ailleurs ce que l'on pourrait, dans certains milieux, qualifier de caractéristiques légèrement « naturelles » : c'est-à-dire des niveaux supérieurs à la moyenne d'acidité volatile et une touche de funky légèrement réducteur provenant des levures sauvages. Réduire ce domaine intéressant à ce seul détail serait cependant une erreur, tant leur viticulture réfléchie et durable, que leur gamme de Bourgognes blancs, qui marient avec brio une acidité vive et un extrait sec calcaire, méritent d'être soulignés. J'ai beaucoup apprécié cette visite — ainsi que les 2018 du domaine, récoltés en moyenne à 45 hectolitres par hectare, contre 30-32 en moyenne dans cette région — et j'ai hâte de suivre le Domaine Bernard-Bonin dans les années à venir.
Notes d'huile d'orange, de poire, de pain grillé blanc, de fleurs blanches séchées et de levure sauvage introduisent le Bourgogne Blanc Initiales B.B. 2022, un vin mi-corps à corsé, vif, ouvert et expressif, avec des acides acidulés et une structure crayeuse.
Wine Advocate
2018 a été ma première visite à l'une des adresses les plus discutées de la Côte de Beaune, et ce fut un plaisir de déguster avec Véronique Bonin et Nicolas Bernard. Commencée avec six hectares, hérités par Véronique de la famille Michelot dont elle est une descendante, elle est aujourd'hui étendue à neuf hectares, complétés par d'autres cessions de la même source. Pratiquant l'agriculture biologique dès le départ, avec une certification Demeter prévue pour 2021, les traitements sont biodynamiques. Bernard et Bonin ont expliqué qu'ils privilégient un cycle de pressurage de deux heures et demie, avec une rotation toutes les 15 minutes, afin d'extraire du peaux. Le moût obtenu est mis en barrique le lendemain, sans ajout de dioxyde de soufre, et les mêmes barriques sont toujours utilisées pour les mêmes appellations (« le bois garde l'empreinte du vin », souligne Véronique). Les fermentations sont lentes, avec des bâtonnages épisodiques déterminés par le goût, et les vins restent 16 à 18 mois sur lies. Le soufre n'est ajouté qu'au moment du débourbage en cuve (strictement selon le calendrier lunaire — les lecteurs remarqueront que la lune figure en bonne place sur l'étiquette du domaine) avant la mise en bouteille, le domaine visant environ 30 parties par million de dioxyde de soufre libre à la mise. Tout cela a fait de ce domaine un favori du mouvement des vins naturels — encore quelque peu marginal en Côte d'Or. Certains des cuvées que nous avons dégustées présentaient d'ailleurs ce que l'on pourrait, dans certains milieux, qualifier de caractéristiques légèrement « naturelles » : c'est-à-dire des niveaux supérieurs à la moyenne d'acidité volatile et une touche de funky légèrement réducteur provenant des levures sauvages. Réduire ce domaine intéressant à ce seul détail serait cependant une erreur, tant leur viticulture réfléchie et durable, que leur gamme de Bourgognes blancs, qui marient avec brio une acidité vive et un extrait sec calcaire, méritent d'être soulignés. J'ai beaucoup apprécié cette visite — ainsi que les 2018 du domaine, récoltés en moyenne à 45 hectolitres par hectare, contre 30-32 en moyenne dans cette région — et j'ai hâte de suivre le Domaine Bernard-Bonin dans les années à venir.

