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John Searle avait 18 ans lorsqu’il a acheté sa première moto : une BMW R60. À cette époque, la R60 était déjà une classique. Mais aujourd’hui encore, il la conduit régulièrement. Son amour pour les motos classiques n’a jamais cessé, pas même lorsque John Searle a filmé et produit des émissions de télé sur les modèles les plus récents. En plus de tout cela, il a continué de participer à des courses de motos classiques dans toute l’Europe, parfois avec sa femme dans le sidecar. Les motos que John Searle utilise pour ces courses sont méticuleusement entretenues dans son propre atelier, d’où il travaille aussi depuis peu pour Catawiki. Entouré par sa passion, naturellement. Pour ses enchères, John Searle trouve qu’il est important de vérifier avec soin chaque détail des motos proposées. Si, par exemple, les numéros de série du châssis et de la moto sont semblables, on peut être certain qu’il s’agit d’une moto complètement authentique qui marchera très bien dans les enchères. De plus, John Searle a acquis une perspicacité très importante quant comportement des gens au fil des ans. Il parle donc avec plaisir aux acheteurs, vendeurs et autres passionnés qui partagent sa passion.
John Searle avait 18 ans lorsqu’il a acheté sa première moto : une BMW R60. À cette époque, la R60 était déjà une classique. Mais aujourd’hui encore, il la conduit régulièrement. Son amour pour les motos classiques n’a jamais cessé, pas même lorsque John Searle a filmé et produit des émissions de télé sur les modèles les plus récents. En plus de tout cela, il a continué de participer à des courses de motos classiques dans toute l’Europe, parfois avec sa femme dans le sidecar. Les motos que John Searle utilise pour ces courses sont méticuleusement entretenues dans son propre atelier, d’où il travaille aussi depuis peu pour Catawiki. Entouré par sa passion, naturellement. Pour ses enchères, John Searle trouve qu’il est important de vérifier avec soin chaque détail des motos proposées. Si, par exemple, les numéros de série du châssis et de la moto sont semblables, on peut être certain qu’il s’agit d’une moto complètement authentique qui marchera très bien dans les enchères. De plus, John Searle a acquis une perspicacité très importante quant comportement des gens au fil des ans. Il parle donc avec plaisir aux acheteurs, vendeurs et autres passionnés qui partagent sa passion.
John Searle avait 18 ans lorsqu’il a acheté sa première moto : une BMW R60. À cette époque, la R60 était déjà une classique. Mais aujourd’hui encore, il la conduit régulièrement. Son amour pour les motos classiques n’a jamais cessé, pas même lorsque John Searle a filmé et produit des émissions de télé sur les modèles les plus récents. En plus de tout cela, il a continué de participer à des courses de motos classiques dans toute l’Europe, parfois avec sa femme dans le sidecar. Les motos que John Searle utilise pour ces courses sont méticuleusement entretenues dans son propre atelier, d’où il travaille aussi depuis peu pour Catawiki. Entouré par sa passion, naturellement. Pour ses enchères, John Searle trouve qu’il est important de vérifier avec soin chaque détail des motos proposées. Si, par exemple, les numéros de série du châssis et de la moto sont semblables, on peut être certain qu’il s’agit d’une moto complètement authentique qui marchera très bien dans les enchères. De plus, John Searle a acquis une perspicacité très importante quant comportement des gens au fil des ans. Il parle donc avec plaisir aux acheteurs, vendeurs et autres passionnés qui partagent sa passion.
John Searle avait 18 ans lorsqu’il a acheté sa première moto : une BMW R60. À cette époque, la R60 était déjà une classique. Mais aujourd’hui encore, il la conduit régulièrement. Son amour pour les motos classiques n’a jamais cessé, pas même lorsque John Searle a filmé et produit des émissions de télé sur les modèles les plus récents. En plus de tout cela, il a continué de participer à des courses de motos classiques dans toute l’Europe, parfois avec sa femme dans le sidecar. Les motos que John Searle utilise pour ces courses sont méticuleusement entretenues dans son propre atelier, d’où il travaille aussi depuis peu pour Catawiki. Entouré par sa passion, naturellement. Pour ses enchères, John Searle trouve qu’il est important de vérifier avec soin chaque détail des motos proposées. Si, par exemple, les numéros de série du châssis et de la moto sont semblables, on peut être certain qu’il s’agit d’une moto complètement authentique qui marchera très bien dans les enchères. De plus, John Searle a acquis une perspicacité très importante quant comportement des gens au fil des ans. Il parle donc avec plaisir aux acheteurs, vendeurs et autres passionnés qui partagent sa passion.