Kishin Shinoyama - Tokyo Nude - 1990





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Description fournie par le vendeur
Tokyo Nude
Kishin Shinoyama
Asahi Press/1990/japonais/268*373*15
Tokyo Nude (avec Obi), une collection d’œuvres de Kishin Shinoyama, l’un des photographes les plus importants du Japon. Des années 1970 aux années 1980, Nobuyoshi Araki s’est associé à Akira Suei pour dominer la scène avec des publications comme « Weekend Super » et le très populaire « Photo Era ». Parallèlement, Shinoyama a connu le succès avec sa série de gravures « Gekisha », mettant en scène des modèles, des idoles et des actrices, ce qui a conduit à la création de magazines de photographie centrés sur lui, tels que « Sharaku ». En plus de ses travaux commerciaux, le projet emblématique de Shinoyama dans les années 80 fut « Shinorama ». Fidèle à son nom — un mélange de Shinoyama et de « panorama » — cette technique utilisait plusieurs appareils photo pour capturer les sujets sous différents angles. Elle s’est avérée idéale pour saisir les villes en pleine mutation des années 1980, notamment New York et Tokyo. Il s’agit de « Tokyo Nude », que l’on pourrait qualifier de « version tokyoïte de Shinorama », mêlant paysages urbains et nus féminins pour dévoiler la ville de Tokyo. Inclut l’obi.
Tokyo Nude
Kishin Shinoyama
Asahi Press/1990/japonais/268*373*15
Tokyo Nude (avec Obi), une collection d’œuvres de Kishin Shinoyama, l’un des photographes les plus importants du Japon. Des années 1970 aux années 1980, Nobuyoshi Araki s’est associé à Akira Suei pour dominer la scène avec des publications comme « Weekend Super » et le très populaire « Photo Era ». Parallèlement, Shinoyama a connu le succès avec sa série de gravures « Gekisha », mettant en scène des modèles, des idoles et des actrices, ce qui a conduit à la création de magazines de photographie centrés sur lui, tels que « Sharaku ». En plus de ses travaux commerciaux, le projet emblématique de Shinoyama dans les années 80 fut « Shinorama ». Fidèle à son nom — un mélange de Shinoyama et de « panorama » — cette technique utilisait plusieurs appareils photo pour capturer les sujets sous différents angles. Elle s’est avérée idéale pour saisir les villes en pleine mutation des années 1980, notamment New York et Tokyo. Il s’agit de « Tokyo Nude », que l’on pourrait qualifier de « version tokyoïte de Shinorama », mêlant paysages urbains et nus féminins pour dévoiler la ville de Tokyo. Inclut l’obi.

