Brian Auger - Open - Album LP (article autonome) - Mono, Premier pressage - 1967





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Description fournie par le vendeur
Rock psychédélique, Soul, Jazz-Rock, Mod
Brian Auger, Julie Driscoll et The Trinity – Open (Marmalade – 607 002) fabriqué au Royaume-Uni, original 1967, mono, première édition LP | vinyle : NM (neuf, jamais joué) | pochette : VG++ (excellent)
L'internet : issu de Steampacket, un groupe qui comprenait non seulement Brian Auger et Julie Driscoll, mais aussi un jeune Rod Stewart, est né du collectif d'Auger et Driscoll qui a produit deux albums. Lorsque Driscoll est partie en 1969 pour poursuivre une carrière solo, Auger, le batteur Clive Thacker et le bassiste Dave Ambrose ont continué sous le nom de Brian Auger & the Trinity. Open a été injustement qualifié de sorte de rip de jazz groove, combinant Wes Montgomery, Jimmy McGriff et les sensibilités rock de l'époque psychédélique. Quoi qu'il en soit. Il y a ici de nombreux morceaux, allant du jazz funky profondément groove, aux ballades légères, en passant par des blues gras et l'exotica stridente de « Goodbye Jungle Telegraph ». Auger n’était peut-être pas aussi doué au clavier qu’Alan Price sur le plan technique, mais il pouvait plus que tenir sa place sur le Hammond B-3 (comme en témoignent les deux premiers morceaux instrumentaux, « In And Out » et « Isola Nate »). Il était aussi capable d’extraire plus de sons de l’instrument que ses pairs. Auger n’était pas vraiment un chanteur, mais il pouvait puiser profondément dans l’émotion d’une chanson — surtout dans un morceau funky comme « Black Cat », qui mettait en avant une section de cuivres en studio, impressionnante mais non créditée. Les contributions de Driscoll se trouvent toutes dans la seconde moitié de l’album, à commencer par le shuffle entraînant de « Tramp » de Lowell Fulsom, puis une lecture émouvante de « Why (Am I Treated So Bad) » de Pops Staples, deux morceaux originaux d’Auger, et enfin une reprise de « Season of the Witch » de Donovan qui a établi sa réputation de chanteuse dotée d’une grande capacité d’interprétation et d’agilité émotionnelle. D’une durée presque de huit minutes, c’est l’interprétation parfaite pour le quatuor, avec son énergie sombre et tourbillonnante, sa groove soul présente, et qui clôt l’album en beauté, annonçant avec brio le classique Streetnoise qui suivra.
lesinrocks
À propos du vendeur
Rock psychédélique, Soul, Jazz-Rock, Mod
Brian Auger, Julie Driscoll et The Trinity – Open (Marmalade – 607 002) fabriqué au Royaume-Uni, original 1967, mono, première édition LP | vinyle : NM (neuf, jamais joué) | pochette : VG++ (excellent)
L'internet : issu de Steampacket, un groupe qui comprenait non seulement Brian Auger et Julie Driscoll, mais aussi un jeune Rod Stewart, est né du collectif d'Auger et Driscoll qui a produit deux albums. Lorsque Driscoll est partie en 1969 pour poursuivre une carrière solo, Auger, le batteur Clive Thacker et le bassiste Dave Ambrose ont continué sous le nom de Brian Auger & the Trinity. Open a été injustement qualifié de sorte de rip de jazz groove, combinant Wes Montgomery, Jimmy McGriff et les sensibilités rock de l'époque psychédélique. Quoi qu'il en soit. Il y a ici de nombreux morceaux, allant du jazz funky profondément groove, aux ballades légères, en passant par des blues gras et l'exotica stridente de « Goodbye Jungle Telegraph ». Auger n’était peut-être pas aussi doué au clavier qu’Alan Price sur le plan technique, mais il pouvait plus que tenir sa place sur le Hammond B-3 (comme en témoignent les deux premiers morceaux instrumentaux, « In And Out » et « Isola Nate »). Il était aussi capable d’extraire plus de sons de l’instrument que ses pairs. Auger n’était pas vraiment un chanteur, mais il pouvait puiser profondément dans l’émotion d’une chanson — surtout dans un morceau funky comme « Black Cat », qui mettait en avant une section de cuivres en studio, impressionnante mais non créditée. Les contributions de Driscoll se trouvent toutes dans la seconde moitié de l’album, à commencer par le shuffle entraînant de « Tramp » de Lowell Fulsom, puis une lecture émouvante de « Why (Am I Treated So Bad) » de Pops Staples, deux morceaux originaux d’Auger, et enfin une reprise de « Season of the Witch » de Donovan qui a établi sa réputation de chanteuse dotée d’une grande capacité d’interprétation et d’agilité émotionnelle. D’une durée presque de huit minutes, c’est l’interprétation parfaite pour le quatuor, avec son énergie sombre et tourbillonnante, sa groove soul présente, et qui clôt l’album en beauté, annonçant avec brio le classique Streetnoise qui suivra.
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