Lyne Seybel (1919-2009) - Paris, la rue Mouffetard






Diplômée commissaire-priseur français, a travaillé au département expertise de Sotheby’s Paris.
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Description fournie par le vendeur
Lyne SEYBEL (1919-2009)
Paris, rue Mouffetard
Huile sur toile
Taille de la peinture : 33 x 41 cm
Signé en bas à droite.
En parfait état.
Sans cadre
Provenance : la famille de l'artiste
Œuvre d'art originale livrée avec facture et certificat d'authenticité.
Expédition rapide, soignée et assurée.
Achetez en toute confiance !
Expédition à partir du 15 août 2025.
Lyne SEYBEL (1919-2009)
Sa passion pour le dessin est présente depuis l'enfance, utilisant des carnets qu'elle porte toujours avec elle, capturant les mouvements de la vie, les couleurs, la poésie du moment, l'humour des gens. Ce sont une « Femme à vélo », « Rue Mouffetard », « Enfants jouant dans le jardin », « Pêcheurs traînant des bateaux sur la plage », « Le balayeur noir », « Le bateau vert sur la mer »...
Elle suit ensuite, en tant qu'étudiante indépendante, les cours des Beaux-Arts et de l'École du Louvre, puise beaucoup dans l'Antiquité dans les galeries du musée du Louvre, et parcourt Paris par tous les temps avec son chevalet.
Lors de divers voyages, elle rencontre Pierre BONNARD à Deauville, qui s'intéresse beaucoup à ses carnets et l'encourage vivement à continuer.
À Cannet, elle retrouve ce grand maître avec qui elle a de longues discussions sur le jeu de lumière et de couleurs, l'expression de sa sensibilité, les résonances de l'âme.
Elle peint ensuite « La Petite Fille de la Lumière », « Le Déjeuner du Soleil », « Lolita au Pain Rouge », « Du Balcon d'Eze-sur-Mer », « Les Rives de la Seine à Bougival », « Tempête à Honfleur », « L'Église d'Auvers ».
Elle fréquente l'Académie FROCHOT à Pigalle, où TOULOUSE-LAUTREC avait travaillé ; elle perfectionne ses compétences en dessin afin que chaque œuvre devienne une véritable petite peinture en soi.
Parmi les œuvres qu'elle a créées à cette époque, on peut mentionner « Nude Woman on a a Sofa », « The Black Woman », « Alice with Curly Bun »...
Elle travaille à la Grande Chaumière dans le Montparnasse, et surtout dans le studio d'André LHOTE, où Henri GOETZ lui apporte son soutien. Il comprend ses points de vue et sa manière personnelle de peindre, où la matière riche rayonne de la lumière intérieure d'un sujet construit, dans des couleurs qui forment des harmonies heureuses ou parfois audacieuses.
Lors de ses séjours en Normandie, la brume percée par quelques rayons de soleil avant d'inonder le paysage la fascine. Elle peint « Bateaux à Barfleur », « Marée basse », « Bateau vert à Saint-Vaast », « Brume dans le Cotentin »...
En Auvergne, et plus précisément dans le Cantal, ce sont les couches de couleurs vives qui se superposent et façonnent le paysage : « Les montagnes », « Au-delà de Saint Urcize », « les champs », « Aube en Auvergne »…
Pendant cette période de travail, elle est encouragée à se montrer dans les salons de peinture à Paris. Elle devient membre des French Artists et des Independent Artists.
Ses œuvres sont remarquées et elle est recherchée pour exposer à la fois à Paris, en province et à l’étranger. Lors de ses diverses expositions personnelles, elle est toujours très émue de voir qu’elle transmet un message de joie, de bonheur et d’harmonie profonde à un public de toutes nationalités.
Elle reste alors de plus en plus souvent à Venise, où elle s’immerge dans la brume de lumière où les or pâles succèdent et se mêlent à la nacre rose des aurores. Il n’est pas rare de la voir, au petit matin, son chevalet installé, capturant les nuances éphémères, la légèreté de l’air, les couleurs diaphanes (« Aube à Venise », « Lumière », « Matin à San Giorgio »…). Dorénavant, pour certains, les matins précoces évoqueront sans doute les œuvres de Lyne.
Au contraire, les tons chauds et flamboyants des couchers de soleil à Venise évoquent en elle une exubérance de couleurs dans un décor presque théâtral (« Evening in Venice », « The Purple Gondolier », « A Camellia on the Lagoon », « Midnight Carnival », « Summer Evening on the Grand Canal », ...)
En Auvergne, où elle se rend chaque année, elle interagit avec la nature. Les champs sont pour elle une source d’émotions profondes, dues à la multiplicité, au mouvement des couleurs, à la transparence de l’air, à la musicalité de la lumière. Elle perçoit à chaque pas une immense chanson qui se structure et s’élève, empreinte de tendresse, de résonances et de clarté de l’âme. Elle peint « Paysage d’été », « Champs au printemps », « Champs pourpres », « Fin d’été »....
Sur la côte normande, elle redécouvre la douce musicalité des couleurs, la transparence de l'air, la lumière iridescente.
Lyne SEYBEL (1919-2009)
Paris, rue Mouffetard
Huile sur toile
Taille de la peinture : 33 x 41 cm
Signé en bas à droite.
En parfait état.
Sans cadre
Provenance : la famille de l'artiste
Œuvre d'art originale livrée avec facture et certificat d'authenticité.
Expédition rapide, soignée et assurée.
Achetez en toute confiance !
Expédition à partir du 15 août 2025.
Lyne SEYBEL (1919-2009)
Sa passion pour le dessin est présente depuis l'enfance, utilisant des carnets qu'elle porte toujours avec elle, capturant les mouvements de la vie, les couleurs, la poésie du moment, l'humour des gens. Ce sont une « Femme à vélo », « Rue Mouffetard », « Enfants jouant dans le jardin », « Pêcheurs traînant des bateaux sur la plage », « Le balayeur noir », « Le bateau vert sur la mer »...
Elle suit ensuite, en tant qu'étudiante indépendante, les cours des Beaux-Arts et de l'École du Louvre, puise beaucoup dans l'Antiquité dans les galeries du musée du Louvre, et parcourt Paris par tous les temps avec son chevalet.
Lors de divers voyages, elle rencontre Pierre BONNARD à Deauville, qui s'intéresse beaucoup à ses carnets et l'encourage vivement à continuer.
À Cannet, elle retrouve ce grand maître avec qui elle a de longues discussions sur le jeu de lumière et de couleurs, l'expression de sa sensibilité, les résonances de l'âme.
Elle peint ensuite « La Petite Fille de la Lumière », « Le Déjeuner du Soleil », « Lolita au Pain Rouge », « Du Balcon d'Eze-sur-Mer », « Les Rives de la Seine à Bougival », « Tempête à Honfleur », « L'Église d'Auvers ».
Elle fréquente l'Académie FROCHOT à Pigalle, où TOULOUSE-LAUTREC avait travaillé ; elle perfectionne ses compétences en dessin afin que chaque œuvre devienne une véritable petite peinture en soi.
Parmi les œuvres qu'elle a créées à cette époque, on peut mentionner « Nude Woman on a a Sofa », « The Black Woman », « Alice with Curly Bun »...
Elle travaille à la Grande Chaumière dans le Montparnasse, et surtout dans le studio d'André LHOTE, où Henri GOETZ lui apporte son soutien. Il comprend ses points de vue et sa manière personnelle de peindre, où la matière riche rayonne de la lumière intérieure d'un sujet construit, dans des couleurs qui forment des harmonies heureuses ou parfois audacieuses.
Lors de ses séjours en Normandie, la brume percée par quelques rayons de soleil avant d'inonder le paysage la fascine. Elle peint « Bateaux à Barfleur », « Marée basse », « Bateau vert à Saint-Vaast », « Brume dans le Cotentin »...
En Auvergne, et plus précisément dans le Cantal, ce sont les couches de couleurs vives qui se superposent et façonnent le paysage : « Les montagnes », « Au-delà de Saint Urcize », « les champs », « Aube en Auvergne »…
Pendant cette période de travail, elle est encouragée à se montrer dans les salons de peinture à Paris. Elle devient membre des French Artists et des Independent Artists.
Ses œuvres sont remarquées et elle est recherchée pour exposer à la fois à Paris, en province et à l’étranger. Lors de ses diverses expositions personnelles, elle est toujours très émue de voir qu’elle transmet un message de joie, de bonheur et d’harmonie profonde à un public de toutes nationalités.
Elle reste alors de plus en plus souvent à Venise, où elle s’immerge dans la brume de lumière où les or pâles succèdent et se mêlent à la nacre rose des aurores. Il n’est pas rare de la voir, au petit matin, son chevalet installé, capturant les nuances éphémères, la légèreté de l’air, les couleurs diaphanes (« Aube à Venise », « Lumière », « Matin à San Giorgio »…). Dorénavant, pour certains, les matins précoces évoqueront sans doute les œuvres de Lyne.
Au contraire, les tons chauds et flamboyants des couchers de soleil à Venise évoquent en elle une exubérance de couleurs dans un décor presque théâtral (« Evening in Venice », « The Purple Gondolier », « A Camellia on the Lagoon », « Midnight Carnival », « Summer Evening on the Grand Canal », ...)
En Auvergne, où elle se rend chaque année, elle interagit avec la nature. Les champs sont pour elle une source d’émotions profondes, dues à la multiplicité, au mouvement des couleurs, à la transparence de l’air, à la musicalité de la lumière. Elle perçoit à chaque pas une immense chanson qui se structure et s’élève, empreinte de tendresse, de résonances et de clarté de l’âme. Elle peint « Paysage d’été », « Champs au printemps », « Champs pourpres », « Fin d’été »....
Sur la côte normande, elle redécouvre la douce musicalité des couleurs, la transparence de l'air, la lumière iridescente.
