A. Bozza - (MANUSCRIPT OF ASTRONOMY AND MAGIC) De Coelo et Mundo - 1681

00
jours
15
heures
14
minutes
07
secondes
Offre actuelle
€ 306
Sans prix de réserve
Volker Riepenhausen
Expert
Sélectionné par Volker Riepenhausen

Spécialiste de la littérature de voyage et des rares imprimés avant 1600, 28 ans d'expérience.

Estimation  € 1 200 - € 2 000
96 autres personnes s’intéressent cet objet
itEnchérisseur 8138 306 €
siEnchérisseur 8747 286 €
esEnchérisseur 1494 266 €

Protection des acheteurs Catawiki

Votre paiement est en sécurité chez nous jusqu’à la réception de votre objet.Voir les informations

Trustpilot 4.4 | 121798 d’avis

Noté Excellent sur Trustpilot.

A. Bozza, auteur/illustrateur du manuscrit De Coelo et Mundo, ouvrage latin en deux volumes de 1681 sur l’Astronomie et la Magie, 206 pages, édition illustrée.

Résumé assisté par IA

Description fournie par le vendeur

Elegitur présente en exclusivité mondiale un manuscrit du XVIIe siècle d'astrologie et de magie du frère A. Bozza, avec dessins et illustrations, dont deux anges dans les antiportes pour protéger le savoir contenu dans l'œuvre des mains du malin.

[Bozza Alessandro].

De Generatione – De Coelo et Mundo – De Phisico
Manuscrit, Italie méridionale, vers 1681
2 vol. in-8°, avec deux antiportes incisées**



I. Introduction générale

L’œuvre présentée constitue un manuscrit philosophique rare et précieux du fin XVIIe siècle, divisé en deux volumes et rédigé en 1681, à une période de profonde transformation de la culture scientifique européenne. Il s'agit d'un ensemble de Quaestiones aristotéliciennes, transcrites avec diligence par le jeune frère cappucin Alessandro Bozza di Santomenna, alors âgé à peine de dix-sept ans.
Ces volumes, initialement conçus comme outils d’étude, ont aujourd’hui une valeur documentaire de premier ordre : ils permettent d’observer de près la manière dont la philosophie naturelle aristotélicienne, cœur de l’éducation religieuse, était enseignée, interprétée et intériorisée dans un petit couvent du sud de l’Italie au cours de la seconde moitié du XVIIe siècle.



II. Description du matériel et bibliophile

Les deux volumes, au format élégant in-8° (environ 18 cm), sont reliés en pleine pergamine coeva, avec des titres manuscrits sur les dos selon le style austère des milieux conventuels. L’unité matérielle est compacte et harmonieuse, témoignant d’une attention portée à la conservation interne des cours d’études.

Les pages sont entièrement manuscrites et présentent une numérotation à la main, parfois irrégulière (caractéristique des cahiers assemblés progressivement puis reliés), mais toujours lisible et homogène en termes de graphie.

Élément de grande valeur bibliophile, ce sont les deux antiportes incisées en cuivre, placées à l'introduction de chaque volume :
la prime avec vue maritime
la deuxième avec un paysage vallonné

Ces images, au trait net et à la composition aérée, proviennent presque certainement de branches de réemploi, judicieusement insérées lors de la reliure. Le choix n'est pas fortuit : les deux paysages évoquent symboliquement la double dimension du cosmos aristotélicien, le monde sublunaire des changements terrestres et l'étendue céleste siège des mouvements parfaits.



III. L’auteur : le jeune cappucin Alessandro Bozza

Alessandro Bozza n'est pas une figure connue dans l'histoire de la philosophie, et il n'a probablement rien publié de son vivant. Mais c'est précisément pour cette raison que son manuscrit est précieux : il ouvre une fenêtre sur la formation intellectuelle ordinaire, éloignée des grands noms et proche du rythme de la vie conventuelle.

En 1681, à l’âge de dix-sept ans, Bozza suit le cursus typique imposé par les Capucins, dans lequel l’étude de la philosophie naturelle aristotélico-scolastique constituait la colonne vertébrale de la préparation à la prédication et à la théologie. Ses Quaestiones montrent un niveau de rigueur surprenant, signe d’une école interne bien organisée et d’une direction magistrale compétente.

Ses notes, bien qu'elles ne soient pas destinées à la publication, possèdent une régularité d'exposition et une soin formel qui révèlent la fierté d'un jeune érudit plongé dans la grande tradition de la pensée péripatétique.



IV. Contenu de l'œuvre

Les deux volumes rassemblent des notes sur trois grands traités aristotéliciens.

De Generatione et Corruptione

Analyse des processus fondamentaux de la nature : génération, corruption, altération, mélange des éléments, théorie de la matière et de la forme. La esquisse suit fidèlement la structure scolastique de la quaestio, avec des arguments pour et contre, des distinctions subtiles et des conclusions ordonnées, selon l'approche thomiste.

2. Du ciel et du monde avec des sections météorologiques.

Exposition de l’univers aristotélicien : structure des sphères célestes, incorrupibilité des corps célestes, mouvement circulaire, relations entre le monde sublunaire et le monde superlunaire. Les Météorologiques offrent le cadre interprétatif pour des phénomènes tels que vapeurs, vents, pluies et surtout comètes, considérées comme des produits de l’exhalation terrestre.

3. De Phisico (Physica)

Le traité physique par excellence : nature, causes, mouvement, temps, lieu, le statut de l’infini, la possibilité du vide. Ici, Bozza se confronte aux fondements conceptuels de la philosophie naturelle : celui qui étudie ces pages voit littéralement se « former » un philosophe selon la tradition canonique de l’Étude ecclésiastique.



V. Signification historique et culturelle

L'œuvre naît à un moment crucial : les années autour de 1680 sont marquées par une tension dramatique entre l'ancien et le nouveau dans la science européenne.
La tradition aristotélicienne domine encore dans les ordres religieux, les séminaires et les collèges universitaires catholiques.
En même temps, les cieux observés par Newton, Flamsteed, Kirch et d'autres astronomes révèlent un univers qui contredit de nombreuses thèses aristotéliciennes, notamment après l'apparition spectaculaire de la grande comète de 1680.
Le mécanisme cartésien et l'empirisme anglais ouvrent de nouvelles voies ; mais dans les écoles religieuses, la doctrine aristotélicienne-thomiste reste normative, par fidélité à la tradition et par prudence doctrinale.

Le manuscrit de Bozza représente donc un document parfait pour comprendre comment le XVIIe siècle périphérique a perçu (ou délibérément ignoré) la révolution scientifique en cours. C'est la voix d'une culture qui résiste, non par obtusité, mais par fidélité à un système éducatif millénaire, qui dans son domaine restait pleinement fonctionnel.



VI. L'antiporte incise : attribution et symbolisme

Les deux antiportes en rame, certainement antérieures ou contemporaines au manuscrit mais non produites spécialement, représentent des paysages vastes et sereins. La vue maritime évoque l’élément fluide et instable, la dynamique de la génération et de la corruption ; la scène collinée renvoie à la stabilité du monde terrestre, au domaine de l’expérience sensible.

Le style, caractérisé par une ligne brillante et une perspective aérée, montre des affinités avec la calcographie italienne baroque, probablement d'origine vénitienne ou napolitaine, bien que l'auteur reste anonyme. L'insertion de telles images dans une œuvre manuscrite indique un désir de lui conférer une dignité livresque presque typographique, rare dans les manuscrits d'étude.



VII. Impact et fonction dans la société de l'époque

Bien que ce manuscrit n'ait pas été destiné à la publication, son impact culturel a néanmoins été concret :
• Servir d'outil de formation pour un jeune destiné à la prédication et à l'étude théologique.
Représente le niveau réel de la philosophie enseignée dans les couvents cappuccins, souvent plus conservatrice que dans les académies urbaines.
• que la méthodologie scolastique (questions, thèses, articles, disputations) était encore très vivante et fonctionnelle dans l'enseignement ;
Il constitue un fragment de la « culture moyenne » du fin du XVIIe siècle, le tissu conjonctif qui a assuré la continuité intellectuelle entre le Moyen Âge et l'Illuminisme.

Aujourd'hui, dans un panorama dominé par la presse, un manuscrit comme celui-ci a un charme particulier : il est unique, non reproductible, porteur de la voix directe d'un étudiant, avec ses hésitations, ses enthousiasmes, son écriture et son univers.



VIII. Conclusion

Le manuscrit d'Alessandro Bozza n'est pas seulement un cahier d'études : c'est un témoignage vivant de la manière dont la culture aristotélicienne a façonné des générations de religieux, précisément au moment où la science moderne imposait de nouvelles visions du cosmos.

La somme de:
rigueur scolaire
élégance matérielle
Preziose antiporte incisé.
contexte historique vibrant
authenticité manuscrite

le rend un exemplaire d’un très grand intérêt pour le bibliophile, pour l’historien de la philosophie, pour le paléographe et pour quiconque souhaite comprendre comment le savoir était transmis avant l’irruption définitive de la science moderne.

Un petit livre, donc, mais capable de raconter un monde entier : celui d’un jeune frère méridional qui, en 1681, étudie Aristote alors que, loin de lui, l’Europe découvre un ciel nouveau.



Collation et état de préservation.

2 volumes in-8° (cm 18), reliure coeve en pleine pergamine avec titres manuscrits sur les dos ; pages 48 [66] 43-77, [4] 169 [c'est-à-dire 170] 174-206 [2b], numérotées à la main, en excellent état ; avec 2 belles planches gravées en cuivre sur les contreplats.

Termes et conditions d'expédition

L'ouvrage sera emballé dans un emballage sûr et solide, avec une expédition rapide et assurée, vous permettant d'obtenir le livre en seulement 24 heures ouvrables dans les pays de l'UE, tandis que pour les pays hors UE, cela prendra seulement 72 heures ouvrables. Il est rappelé que d'éventuels droits de douane pour les pays hors UE seront à la charge de l'acheteur.

Elegitur présente en exclusivité mondiale un manuscrit du XVIIe siècle d'astrologie et de magie du frère A. Bozza, avec dessins et illustrations, dont deux anges dans les antiportes pour protéger le savoir contenu dans l'œuvre des mains du malin.

[Bozza Alessandro].

De Generatione – De Coelo et Mundo – De Phisico
Manuscrit, Italie méridionale, vers 1681
2 vol. in-8°, avec deux antiportes incisées**



I. Introduction générale

L’œuvre présentée constitue un manuscrit philosophique rare et précieux du fin XVIIe siècle, divisé en deux volumes et rédigé en 1681, à une période de profonde transformation de la culture scientifique européenne. Il s'agit d'un ensemble de Quaestiones aristotéliciennes, transcrites avec diligence par le jeune frère cappucin Alessandro Bozza di Santomenna, alors âgé à peine de dix-sept ans.
Ces volumes, initialement conçus comme outils d’étude, ont aujourd’hui une valeur documentaire de premier ordre : ils permettent d’observer de près la manière dont la philosophie naturelle aristotélicienne, cœur de l’éducation religieuse, était enseignée, interprétée et intériorisée dans un petit couvent du sud de l’Italie au cours de la seconde moitié du XVIIe siècle.



II. Description du matériel et bibliophile

Les deux volumes, au format élégant in-8° (environ 18 cm), sont reliés en pleine pergamine coeva, avec des titres manuscrits sur les dos selon le style austère des milieux conventuels. L’unité matérielle est compacte et harmonieuse, témoignant d’une attention portée à la conservation interne des cours d’études.

Les pages sont entièrement manuscrites et présentent une numérotation à la main, parfois irrégulière (caractéristique des cahiers assemblés progressivement puis reliés), mais toujours lisible et homogène en termes de graphie.

Élément de grande valeur bibliophile, ce sont les deux antiportes incisées en cuivre, placées à l'introduction de chaque volume :
la prime avec vue maritime
la deuxième avec un paysage vallonné

Ces images, au trait net et à la composition aérée, proviennent presque certainement de branches de réemploi, judicieusement insérées lors de la reliure. Le choix n'est pas fortuit : les deux paysages évoquent symboliquement la double dimension du cosmos aristotélicien, le monde sublunaire des changements terrestres et l'étendue céleste siège des mouvements parfaits.



III. L’auteur : le jeune cappucin Alessandro Bozza

Alessandro Bozza n'est pas une figure connue dans l'histoire de la philosophie, et il n'a probablement rien publié de son vivant. Mais c'est précisément pour cette raison que son manuscrit est précieux : il ouvre une fenêtre sur la formation intellectuelle ordinaire, éloignée des grands noms et proche du rythme de la vie conventuelle.

En 1681, à l’âge de dix-sept ans, Bozza suit le cursus typique imposé par les Capucins, dans lequel l’étude de la philosophie naturelle aristotélico-scolastique constituait la colonne vertébrale de la préparation à la prédication et à la théologie. Ses Quaestiones montrent un niveau de rigueur surprenant, signe d’une école interne bien organisée et d’une direction magistrale compétente.

Ses notes, bien qu'elles ne soient pas destinées à la publication, possèdent une régularité d'exposition et une soin formel qui révèlent la fierté d'un jeune érudit plongé dans la grande tradition de la pensée péripatétique.



IV. Contenu de l'œuvre

Les deux volumes rassemblent des notes sur trois grands traités aristotéliciens.

De Generatione et Corruptione

Analyse des processus fondamentaux de la nature : génération, corruption, altération, mélange des éléments, théorie de la matière et de la forme. La esquisse suit fidèlement la structure scolastique de la quaestio, avec des arguments pour et contre, des distinctions subtiles et des conclusions ordonnées, selon l'approche thomiste.

2. Du ciel et du monde avec des sections météorologiques.

Exposition de l’univers aristotélicien : structure des sphères célestes, incorrupibilité des corps célestes, mouvement circulaire, relations entre le monde sublunaire et le monde superlunaire. Les Météorologiques offrent le cadre interprétatif pour des phénomènes tels que vapeurs, vents, pluies et surtout comètes, considérées comme des produits de l’exhalation terrestre.

3. De Phisico (Physica)

Le traité physique par excellence : nature, causes, mouvement, temps, lieu, le statut de l’infini, la possibilité du vide. Ici, Bozza se confronte aux fondements conceptuels de la philosophie naturelle : celui qui étudie ces pages voit littéralement se « former » un philosophe selon la tradition canonique de l’Étude ecclésiastique.



V. Signification historique et culturelle

L'œuvre naît à un moment crucial : les années autour de 1680 sont marquées par une tension dramatique entre l'ancien et le nouveau dans la science européenne.
La tradition aristotélicienne domine encore dans les ordres religieux, les séminaires et les collèges universitaires catholiques.
En même temps, les cieux observés par Newton, Flamsteed, Kirch et d'autres astronomes révèlent un univers qui contredit de nombreuses thèses aristotéliciennes, notamment après l'apparition spectaculaire de la grande comète de 1680.
Le mécanisme cartésien et l'empirisme anglais ouvrent de nouvelles voies ; mais dans les écoles religieuses, la doctrine aristotélicienne-thomiste reste normative, par fidélité à la tradition et par prudence doctrinale.

Le manuscrit de Bozza représente donc un document parfait pour comprendre comment le XVIIe siècle périphérique a perçu (ou délibérément ignoré) la révolution scientifique en cours. C'est la voix d'une culture qui résiste, non par obtusité, mais par fidélité à un système éducatif millénaire, qui dans son domaine restait pleinement fonctionnel.



VI. L'antiporte incise : attribution et symbolisme

Les deux antiportes en rame, certainement antérieures ou contemporaines au manuscrit mais non produites spécialement, représentent des paysages vastes et sereins. La vue maritime évoque l’élément fluide et instable, la dynamique de la génération et de la corruption ; la scène collinée renvoie à la stabilité du monde terrestre, au domaine de l’expérience sensible.

Le style, caractérisé par une ligne brillante et une perspective aérée, montre des affinités avec la calcographie italienne baroque, probablement d'origine vénitienne ou napolitaine, bien que l'auteur reste anonyme. L'insertion de telles images dans une œuvre manuscrite indique un désir de lui conférer une dignité livresque presque typographique, rare dans les manuscrits d'étude.



VII. Impact et fonction dans la société de l'époque

Bien que ce manuscrit n'ait pas été destiné à la publication, son impact culturel a néanmoins été concret :
• Servir d'outil de formation pour un jeune destiné à la prédication et à l'étude théologique.
Représente le niveau réel de la philosophie enseignée dans les couvents cappuccins, souvent plus conservatrice que dans les académies urbaines.
• que la méthodologie scolastique (questions, thèses, articles, disputations) était encore très vivante et fonctionnelle dans l'enseignement ;
Il constitue un fragment de la « culture moyenne » du fin du XVIIe siècle, le tissu conjonctif qui a assuré la continuité intellectuelle entre le Moyen Âge et l'Illuminisme.

Aujourd'hui, dans un panorama dominé par la presse, un manuscrit comme celui-ci a un charme particulier : il est unique, non reproductible, porteur de la voix directe d'un étudiant, avec ses hésitations, ses enthousiasmes, son écriture et son univers.



VIII. Conclusion

Le manuscrit d'Alessandro Bozza n'est pas seulement un cahier d'études : c'est un témoignage vivant de la manière dont la culture aristotélicienne a façonné des générations de religieux, précisément au moment où la science moderne imposait de nouvelles visions du cosmos.

La somme de:
rigueur scolaire
élégance matérielle
Preziose antiporte incisé.
contexte historique vibrant
authenticité manuscrite

le rend un exemplaire d’un très grand intérêt pour le bibliophile, pour l’historien de la philosophie, pour le paléographe et pour quiconque souhaite comprendre comment le savoir était transmis avant l’irruption définitive de la science moderne.

Un petit livre, donc, mais capable de raconter un monde entier : celui d’un jeune frère méridional qui, en 1681, étudie Aristote alors que, loin de lui, l’Europe découvre un ciel nouveau.



Collation et état de préservation.

2 volumes in-8° (cm 18), reliure coeve en pleine pergamine avec titres manuscrits sur les dos ; pages 48 [66] 43-77, [4] 169 [c'est-à-dire 170] 174-206 [2b], numérotées à la main, en excellent état ; avec 2 belles planches gravées en cuivre sur les contreplats.

Termes et conditions d'expédition

L'ouvrage sera emballé dans un emballage sûr et solide, avec une expédition rapide et assurée, vous permettant d'obtenir le livre en seulement 24 heures ouvrables dans les pays de l'UE, tandis que pour les pays hors UE, cela prendra seulement 72 heures ouvrables. Il est rappelé que d'éventuels droits de douane pour les pays hors UE seront à la charge de l'acheteur.

Détails

Nombre de livres
1
Sujet
Astronomie, Incunable et premières impressions, Livres illustrés, Ésotérisme
Titre du livre
(MANUSCRIPT OF ASTRONOMY AND MAGIC) De Coelo et Mundo
Auteur/ Illustrateur
A. Bozza
Condition
Excellent
Année de publication de l’ouvrage le plus ancien
1681
Édition
Impression spéciale, Édition illustrée
Langue
Italien, Latin
Langue originale
Oui
Reliure
Vélin
Nombre de pages
206
Vendu par
ItalieVérifié
170
Objets vendus
97,92%
Particulier

Objets similaires

Pour vous

Livres