Signed Willy Ronis - Toutes Belle + Nue - 1992-2008





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Deux livres de nus féminins de Willy Ronis, dont l'un "Toutes belles" est signé en page de titre (unique et introuvable en exemplaire signé sur Internet).
1. "Toutes belles". Hoëbeke, 1992. 32,5 x 24,5 cm., 92 pages et 69 photographies en noir et blanc et table des illustrations à la fin du livre, texte en français de Régine Deforges. Reliure cartonnée noire imitation toile et jaquette illustrée.
2. Nues. Editions Terre Bleue, 2008. 27 x 25 cm., 136 pages et 58 photographies en noir et blanc imprimées sur recto seul, texte de Philippe Sollers et à la fin du livre Index photographique avec reproductions miniatures. Reliure cartonnée beige imitation toile avec titre imprimé en creux, ton sur ton, en couverture et au dos, jaquette illustrée avec bandeau (OBI).
Willy Ronis, le photographe humaniste, a su mettre notre siècle en lumière. « Le Nu provençal » l’a fait connaître dans le monde entier. A travers ces images amoureusement mises en lumière les femmes de Willy Ronis sont belles, toutes belles.
Il n'a pas photographié que sa femme. Toute sa vie, au hasard des rencontres et des demandes, il a photographié des nus. "La beauté du corps féminin m'a toujours impressionné", disait-il dans une interview au Nouvel Observateur au moment de la sortie de Nues, un livre réalisé avec Philippe Sollers. Et la beauté de ces corps féminins, il a su la saisir avec beaucoup de respect et de délicatesse. En 2001, il décide d'arrêter la photographie à titre professionnel. En 2002, frappé par l'arthrite, il cesse de prendre des photographies. Son dernier cliché est un nu qui figure dans le livre Nues sorti en 2008. Le grand photographe est mort à 99 ans. Il avait raconté à Bernard Géniès l'histoire de ses "Nues".(Le Nouvel Observateur)
N. O. Le nu est-il pour vous un genre photographique?
W. Ronis. Je ne l'ai pas pratiqué comme tel. Même si j'ai un parcours assez linéaire, je ne me suis jamais considéré comme un photographe à thème. Ces nus, je les ai pris au fil des années, sans me soucier de savoir s'ils appartenaient ou non à une catégorie. La plupart ont d'ailleurs été pris de manière presque spontanée. Je connaissais la plupart des femmes qui ont posé pour moi, ce pouvait être des connaissances ou des amies. Mais j'ai été parfois sollicité.
N. O. Comment cela ?
W. Ronis. Des femmes m'ont parfois demandé de poser nues pour moi.
N. O. Vous ne les connaissiez pas ?
W. Ronis. Oui, cela m'est arrivé. En 1981, lors du vernissage d'une de mes expositions à New York, une femme m'a abordé. Elle était employée dans une ambassade et m'a demandé de la photographier nue. J'ai accepté. Pour le livre, j'ai changé son prénom et l'ai appelée Isabelle.
Willy Ronis trouve spontanément le point moral, la place, l'éclairage, la position du modèle qui lui permettent, face à des corps parfois impudiques, de ne verser dans aucun des pièges de l'exercice : l'éthéré ou le trivial.
Pour visualiser la série photographique en plein écran, cliquer deux fois sur une photographie avec possibilité ensuite de revenir à l’affichage standard à tout moment.
Exemplaires en excellent état, pratiquement comme neuf (en page d'avant titre de Toutes Belles, un tampon "Service de Presse" Livres de ma collection personnelle conservé avec le plus grand soin. . Envoi protégé avec emballage renforcé et suivi postal international garanti. En cas d’achats multiples possibilité d’envoi groupé avec remboursement des frais postaux payés en trop via Paypal.
2 kg. hors emballage
Deux livres de nus féminins de Willy Ronis, dont l'un "Toutes belles" est signé en page de titre (unique et introuvable en exemplaire signé sur Internet).
1. "Toutes belles". Hoëbeke, 1992. 32,5 x 24,5 cm., 92 pages et 69 photographies en noir et blanc et table des illustrations à la fin du livre, texte en français de Régine Deforges. Reliure cartonnée noire imitation toile et jaquette illustrée.
2. Nues. Editions Terre Bleue, 2008. 27 x 25 cm., 136 pages et 58 photographies en noir et blanc imprimées sur recto seul, texte de Philippe Sollers et à la fin du livre Index photographique avec reproductions miniatures. Reliure cartonnée beige imitation toile avec titre imprimé en creux, ton sur ton, en couverture et au dos, jaquette illustrée avec bandeau (OBI).
Willy Ronis, le photographe humaniste, a su mettre notre siècle en lumière. « Le Nu provençal » l’a fait connaître dans le monde entier. A travers ces images amoureusement mises en lumière les femmes de Willy Ronis sont belles, toutes belles.
Il n'a pas photographié que sa femme. Toute sa vie, au hasard des rencontres et des demandes, il a photographié des nus. "La beauté du corps féminin m'a toujours impressionné", disait-il dans une interview au Nouvel Observateur au moment de la sortie de Nues, un livre réalisé avec Philippe Sollers. Et la beauté de ces corps féminins, il a su la saisir avec beaucoup de respect et de délicatesse. En 2001, il décide d'arrêter la photographie à titre professionnel. En 2002, frappé par l'arthrite, il cesse de prendre des photographies. Son dernier cliché est un nu qui figure dans le livre Nues sorti en 2008. Le grand photographe est mort à 99 ans. Il avait raconté à Bernard Géniès l'histoire de ses "Nues".(Le Nouvel Observateur)
N. O. Le nu est-il pour vous un genre photographique?
W. Ronis. Je ne l'ai pas pratiqué comme tel. Même si j'ai un parcours assez linéaire, je ne me suis jamais considéré comme un photographe à thème. Ces nus, je les ai pris au fil des années, sans me soucier de savoir s'ils appartenaient ou non à une catégorie. La plupart ont d'ailleurs été pris de manière presque spontanée. Je connaissais la plupart des femmes qui ont posé pour moi, ce pouvait être des connaissances ou des amies. Mais j'ai été parfois sollicité.
N. O. Comment cela ?
W. Ronis. Des femmes m'ont parfois demandé de poser nues pour moi.
N. O. Vous ne les connaissiez pas ?
W. Ronis. Oui, cela m'est arrivé. En 1981, lors du vernissage d'une de mes expositions à New York, une femme m'a abordé. Elle était employée dans une ambassade et m'a demandé de la photographier nue. J'ai accepté. Pour le livre, j'ai changé son prénom et l'ai appelée Isabelle.
Willy Ronis trouve spontanément le point moral, la place, l'éclairage, la position du modèle qui lui permettent, face à des corps parfois impudiques, de ne verser dans aucun des pièges de l'exercice : l'éthéré ou le trivial.
Pour visualiser la série photographique en plein écran, cliquer deux fois sur une photographie avec possibilité ensuite de revenir à l’affichage standard à tout moment.
Exemplaires en excellent état, pratiquement comme neuf (en page d'avant titre de Toutes Belles, un tampon "Service de Presse" Livres de ma collection personnelle conservé avec le plus grand soin. . Envoi protégé avec emballage renforcé et suivi postal international garanti. En cas d’achats multiples possibilité d’envoi groupé avec remboursement des frais postaux payés en trop via Paypal.
2 kg. hors emballage

