Howard Carter (1874-1939) [Archaeologist] - Fine long Autograph Letter signed of the archaeologist as philosopher to the mysterious Miss Ionides - 1933

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Longue lettre autographe signée par l'archéologue Howard Carter adressée à la mystérieuse Miss Ionides, en anglais, 4 feuillets au format 8vo, signée, 1933.

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Description fournie par le vendeur

Helen Euphrosyne, 1871-1967, fille de Constantine Alexander, 1833-1900, mécène et collectionneur d'art, commence par « Qui un poète comprendrait-il doit d'abord visiter la terre du poète. » et poursuit « Être à Athènes, c'est réaliser comment la vie sans entraves d'une fourmi, obéissant à toutes les lois de la nature, a grandi, fleuri, fané et hélas est morte. À tel point qu'on se demande si de tels merveilles étaient dues à une main mortelle ou aux dieux eux-mêmes. Cependant, ils nous disent que ceci ou cela a été fait à telle ou telle époque, ou à un moment précis, et ils y collent même des étiquettes. Ouf ! Qui s'en soucie. Imaginez la Nature étiquetant sa rose. Une œuvre d'art a-t-elle été créée pour Bradshaw ? Ou n'était-ce pas dans des conditions appropriées, dans le vrai environnement, que le jardin d'enfants a bien élevé son enfant ? Dans le port, le petit ‘Ophris’ (rebaptisé ‘Turine’) bourdonne comme un bouchon. Avec un capitaine solide et une équipage de onze, nous la prendrons demain et faucherons les vagues vers les îles en mer. Avec toute ma considération pour Miss Stevens et vous-même. Cordialement, Howard Carter. Peut-être mieux connu sous le nom de ‘Kolokithi’... », 4 pages 8vo., avec enveloppe autographe originale, Hôtel de la Grande-Bretagne, Athènes, 10 septembre 1933.
La nature de la relation de Carter avec la mystérieuse Miss Ionides demeure malheureusement elusive. Cette lettre est à la fois nostalgique et lyrique, révélant un Carter différent du homme difficile et sombre connu du public. C’est l’homme qui a été impliqué dans une altercation avec un groupe de touristes français en Égypte et qui s’est rendu à la Cour suprême pour empêcher un certain Sheik Quraishi de vendre du parfum Tutankhamen portant le nom de Carter.
On est tenté de conclure que l'archéologue, célèbre pour sa réserve, était en réalité une personne romantique, et que les sentiments exprimés ici l'ont motivé à continuer à chercher la tombe de Toutankhamon bien après avoir été averti que cela relevait d'une entreprise impossible.
Son père est surtout connu pour son legs de 82 peintures à l'huile au Victoria and Albert Museum.

Helen Euphrosyne, 1871-1967, fille de Constantine Alexander, 1833-1900, mécène et collectionneur d'art, commence par « Qui un poète comprendrait-il doit d'abord visiter la terre du poète. » et poursuit « Être à Athènes, c'est réaliser comment la vie sans entraves d'une fourmi, obéissant à toutes les lois de la nature, a grandi, fleuri, fané et hélas est morte. À tel point qu'on se demande si de tels merveilles étaient dues à une main mortelle ou aux dieux eux-mêmes. Cependant, ils nous disent que ceci ou cela a été fait à telle ou telle époque, ou à un moment précis, et ils y collent même des étiquettes. Ouf ! Qui s'en soucie. Imaginez la Nature étiquetant sa rose. Une œuvre d'art a-t-elle été créée pour Bradshaw ? Ou n'était-ce pas dans des conditions appropriées, dans le vrai environnement, que le jardin d'enfants a bien élevé son enfant ? Dans le port, le petit ‘Ophris’ (rebaptisé ‘Turine’) bourdonne comme un bouchon. Avec un capitaine solide et une équipage de onze, nous la prendrons demain et faucherons les vagues vers les îles en mer. Avec toute ma considération pour Miss Stevens et vous-même. Cordialement, Howard Carter. Peut-être mieux connu sous le nom de ‘Kolokithi’... », 4 pages 8vo., avec enveloppe autographe originale, Hôtel de la Grande-Bretagne, Athènes, 10 septembre 1933.
La nature de la relation de Carter avec la mystérieuse Miss Ionides demeure malheureusement elusive. Cette lettre est à la fois nostalgique et lyrique, révélant un Carter différent du homme difficile et sombre connu du public. C’est l’homme qui a été impliqué dans une altercation avec un groupe de touristes français en Égypte et qui s’est rendu à la Cour suprême pour empêcher un certain Sheik Quraishi de vendre du parfum Tutankhamen portant le nom de Carter.
On est tenté de conclure que l'archéologue, célèbre pour sa réserve, était en réalité une personne romantique, et que les sentiments exprimés ici l'ont motivé à continuer à chercher la tombe de Toutankhamon bien après avoir été averti que cela relevait d'une entreprise impossible.
Son père est surtout connu pour son legs de 82 peintures à l'huile au Victoria and Albert Museum.

Détails

Nombre de livres
1
Auteur/ Illustrateur
Howard Carter (1874-1939) [Archaeologist]
Titre du livre
Fine long Autograph Letter signed of the archaeologist as philosopher to the mysterious Miss Ionides
Condition
Très bon
Langue
Anglais
Année de publication de l’ouvrage le plus ancien
1933
Langue originale
Oui
Nombre de pages
4
Signature
Signé(e)
Royaume-UniVérifié
17
Objets vendus
100%
pro

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