Cicero (Marcus Tullius) - M.T. Ciceronis epistolae familiares - 1537






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Auteur : Cicéron (Marcus Tullius) ; Titre : M.T. Ciceronis epistolae familiares.
Description fournie par le vendeur
Cicéron (Marcus Tullius). Lettres familiales.
À Paris : de l'atelier de Robert Stephani, 1537.
Dispositif de l'imprimeur (le olivier avec la devise Noli altum sapere) en titre. Plus tard, en vélin complet, titre manuscrit sur la dos, conservant des traces d'une reliure en veau originale estampée « S B ».
Une édition rare et élégante de Paris des Epistolae ad Familiares de Cicéron, imprimée par Robert Estienne (Robertus Stephanus), imprimeur royal et typographe de François Ier. Les Familiares — une source majeure pour la vie politique et privée de la Rome de la fin de la République — constituaient une pierre angulaire de l'étude humaniste de la Renaissance et de l'imprimerie philologique.
Robert Estienne (1503–1559), connu sous le nom de « Imprimeur du Roi », renommé pour ses éditions savantes des classiques latins, a publié plusieurs textes ciceroniens dans les années 1530. Son emblème de l’olivier portant la devise « Noli altum sapere » (« Ne sois pas plus sage que ce qui est écrit ») est devenu synonyme d’excellence typographique. Cet octavo compact illustre la clarté et la précision qui ont fait de la presse d’Estienne la référence en matière d’impression de la Renaissance. Avec d’autres imprimeurs, Estienne a contribué à la « Ère d’or de la typographie française ». Dans les années 1530, l’imprimerie d’Estienne marque la première utilisation des apostrophes et des accents grave et aigu en France.
Les lettres de Cicéron figurent parmi les sources les plus précieuses d'informations sur cette période. Nous apprenons de lui beaucoup sur la vie quotidienne à Rome et dans les provinces, en particulier la province de Cilicie dont Cicéron fut parfois gouverneur. Il n'existe aucune autre période de l'Antiquité pour laquelle nous possédons encore un tel récit immédiat et intime, et dans un tel détail domestique.
Condition : reliure légèrement déformée et marquée ; premières pages anciennes et signes de la couverture en cuir antérieure sous le vélin ; quelques notes marginales anciennes et salissures sur le titre ; texte propre et bien conservé, avec de bonnes impressions du device Estienne. L'œuvre semble complète.
Cicéron (Marcus Tullius). Lettres familiales.
À Paris : de l'atelier de Robert Stephani, 1537.
Dispositif de l'imprimeur (le olivier avec la devise Noli altum sapere) en titre. Plus tard, en vélin complet, titre manuscrit sur la dos, conservant des traces d'une reliure en veau originale estampée « S B ».
Une édition rare et élégante de Paris des Epistolae ad Familiares de Cicéron, imprimée par Robert Estienne (Robertus Stephanus), imprimeur royal et typographe de François Ier. Les Familiares — une source majeure pour la vie politique et privée de la Rome de la fin de la République — constituaient une pierre angulaire de l'étude humaniste de la Renaissance et de l'imprimerie philologique.
Robert Estienne (1503–1559), connu sous le nom de « Imprimeur du Roi », renommé pour ses éditions savantes des classiques latins, a publié plusieurs textes ciceroniens dans les années 1530. Son emblème de l’olivier portant la devise « Noli altum sapere » (« Ne sois pas plus sage que ce qui est écrit ») est devenu synonyme d’excellence typographique. Cet octavo compact illustre la clarté et la précision qui ont fait de la presse d’Estienne la référence en matière d’impression de la Renaissance. Avec d’autres imprimeurs, Estienne a contribué à la « Ère d’or de la typographie française ». Dans les années 1530, l’imprimerie d’Estienne marque la première utilisation des apostrophes et des accents grave et aigu en France.
Les lettres de Cicéron figurent parmi les sources les plus précieuses d'informations sur cette période. Nous apprenons de lui beaucoup sur la vie quotidienne à Rome et dans les provinces, en particulier la province de Cilicie dont Cicéron fut parfois gouverneur. Il n'existe aucune autre période de l'Antiquité pour laquelle nous possédons encore un tel récit immédiat et intime, et dans un tel détail domestique.
Condition : reliure légèrement déformée et marquée ; premières pages anciennes et signes de la couverture en cuir antérieure sous le vélin ; quelques notes marginales anciennes et salissures sur le titre ; texte propre et bien conservé, avec de bonnes impressions du device Estienne. L'œuvre semble complète.
