anonimo - Torero Rafael González y Madrid (Machaquito)

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Épreuve unique à l’albumine intitulée Torero Rafael González y Madrid (Machaquito), imprimée en 1890, en bon état, 14 × 8 cm, non signée, artiste anonyme, vendue par Proprietario o rivenditore, genre photographie documentaire.

Résumé assisté par IA

Description fournie par le vendeur

Rafael González et Madrid (Machaquito)
En prenant l'alternative de la mano de Bombita (Emilio), celui-ci lui céda le toro Costillares, noir listón, de Veragua, selon ce qui a été dit, et son ascension ne tarda pas à suivre. Les principes tauromachiques de ce espada furent les mêmes que ceux du précédent, jusqu'à ce que l’un et l’autre prennent l’alternative à la date mentionnée en parlant de leur compagnon. Il faut toutefois noter que Machaquito, avant de rejoindre Lagartijo, avait déjà toréé quelque peu, bien que peu, avec Revertito, Rafael el Gallo et Redondo. Son dévouement professionnel et ses grandes estocades lui ouvrirent les portes de la renommée et forgèrent son prestige ; il faisait tout, et si sa finesse ne brillait pas, sa honte taurine et la fermeté de sa volonté furent des ressorts puissants pour faciliter son ascension. Les incidents qu’il subit n’eurent pas raison de sa fougue ; ce fut un cas similaire à celui que présente aujourd’hui Diego Puerta, et nous ne pouvons voir toréer celui-ci sans rendre hommage à ce vaillant estoqueador cordouan, qui n’était pas manchot non plus en capa, en clavant des banderilles et en passant la muleta. En tant que matador, il participa à 754 corridas et tua 1 853 toros, chiffres incluant ses campagnes au Mexique durant les hivers 1903-1904 et 1912-1913. Il subit dix-sept incidents plus ou moins graves, le plus important étant celui de Palma de Majorque, le 4 juillet 1909, qui lui fit perdre 32 corridas. Il reçut la Cruz de Beneficencia pour son exploit mémorable à Hinojosa del Duque (Córdoba), où, toréant le 29 août 1902, une tribune en bois s’effondra. N’ayant pas de barrière dans l’arène, de nombreux spectateurs tombèrent dans l’arène, et grâce à la réaction immédiate de Machaquito, qui tua sans hésitation le toro avec une superbe estocade, aucune catastrophe ne se produisit. Sa dernière corrida eut lieu à Madrid le 16 octobre 1913, sans annonce préalable de sa retraite. En compagnie de Rafael el Gallo et Juan Belmonte, lors de la cérémonie de doctorat de ce dernier par le torero cordouan, et le dernier toro qu’il toréa, nommé Lunarejo, coloré, provenant de la ganadería de Bañuelos. Cinq jours plus tard, le 21, alors qu’il se trouvait dans un hôtel madrilène avec sa famille, dans un moment d’affection sincère, il eut une crise de ses accès, propre à son caractère, à sa nervosité, demanda une paire de ciseaux et se coupa la queue de cheval. Deux jours auparavant, Ricardo Bombita s’était déjà dit adieu. Commencait l’époque de Joselito et Belmonte. Machaquito vécut retiré à Córdoba, profitant de ce qu’il gagna avec les toros, jusqu’au 1er novembre 1955, date de son décès. Il était né dans cette ville le 2 janvier 1880.

Rafael González et Madrid (Machaquito)
En prenant l'alternative de la mano de Bombita (Emilio), celui-ci lui céda le toro Costillares, noir listón, de Veragua, selon ce qui a été dit, et son ascension ne tarda pas à suivre. Les principes tauromachiques de ce espada furent les mêmes que ceux du précédent, jusqu'à ce que l’un et l’autre prennent l’alternative à la date mentionnée en parlant de leur compagnon. Il faut toutefois noter que Machaquito, avant de rejoindre Lagartijo, avait déjà toréé quelque peu, bien que peu, avec Revertito, Rafael el Gallo et Redondo. Son dévouement professionnel et ses grandes estocades lui ouvrirent les portes de la renommée et forgèrent son prestige ; il faisait tout, et si sa finesse ne brillait pas, sa honte taurine et la fermeté de sa volonté furent des ressorts puissants pour faciliter son ascension. Les incidents qu’il subit n’eurent pas raison de sa fougue ; ce fut un cas similaire à celui que présente aujourd’hui Diego Puerta, et nous ne pouvons voir toréer celui-ci sans rendre hommage à ce vaillant estoqueador cordouan, qui n’était pas manchot non plus en capa, en clavant des banderilles et en passant la muleta. En tant que matador, il participa à 754 corridas et tua 1 853 toros, chiffres incluant ses campagnes au Mexique durant les hivers 1903-1904 et 1912-1913. Il subit dix-sept incidents plus ou moins graves, le plus important étant celui de Palma de Majorque, le 4 juillet 1909, qui lui fit perdre 32 corridas. Il reçut la Cruz de Beneficencia pour son exploit mémorable à Hinojosa del Duque (Córdoba), où, toréant le 29 août 1902, une tribune en bois s’effondra. N’ayant pas de barrière dans l’arène, de nombreux spectateurs tombèrent dans l’arène, et grâce à la réaction immédiate de Machaquito, qui tua sans hésitation le toro avec une superbe estocade, aucune catastrophe ne se produisit. Sa dernière corrida eut lieu à Madrid le 16 octobre 1913, sans annonce préalable de sa retraite. En compagnie de Rafael el Gallo et Juan Belmonte, lors de la cérémonie de doctorat de ce dernier par le torero cordouan, et le dernier toro qu’il toréa, nommé Lunarejo, coloré, provenant de la ganadería de Bañuelos. Cinq jours plus tard, le 21, alors qu’il se trouvait dans un hôtel madrilène avec sa famille, dans un moment d’affection sincère, il eut une crise de ses accès, propre à son caractère, à sa nervosité, demanda une paire de ciseaux et se coupa la queue de cheval. Deux jours auparavant, Ricardo Bombita s’était déjà dit adieu. Commencait l’époque de Joselito et Belmonte. Machaquito vécut retiré à Córdoba, profitant de ce qu’il gagna avec les toros, jusqu’au 1er novembre 1955, date de son décès. Il était né dans cette ville le 2 janvier 1880.

Détails

Date d’impression
1890
Artiste
anonimo
Vendu(e) par
Propriétaire ou revendeur
Titre de l'œuvre d'art
Torero Rafael González y Madrid (Machaquito)
Condition
Bon état
Technique
Tirage albuminé
Hauteur
14 cm
Édition
One of a kind piece
Largeur
8 cm
Signature
Non signé(e)
Genre
Photographie documentaire
ItalieVérifié
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Particulier

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