Nr. 99666602

Eladva
Fej koponya - Igbo - Nigéria  (Nincs minimálár)
Végső licit
€ 50
1 héttel ezelőtt

Fej koponya - Igbo - Nigéria (Nincs minimálár)

Tête en bronze du Nigéria. Les igbo, Jukun, Chamba et Mumuye sont des ethnies géographiquement proches les unes des autres. Gravitent aussi autour de ces ethnies connues et reconnues de petites ethnies minoritaires qui sont géographiquement situées dans l'état de Taraba, capitale Jalingo. Avant l’arrivée des colons européens, les igbo étaits reconnus pour être aimer travailler la terre, avec une propension à étendre leurs territoires cultivables jusqu’à en dépasser les limites imparties. Ils finirent par empiéter sur les terres de leurs voisins les Jukun, créant ainsi de fortes tensions. Au départ une conciliation heureuse fut trouvée : en échange d'une partie de leurs récoltes les Jukun acceptère la gêne causée. Mais les années passant, les nouvelles générations igbo décidèrent "d'oublier" cet arrangement. Leur surnombre numéraire a permis de généraliser la spoliation des Jukun sans plus de contrepartie. Des affrontements virent le jour... Une autre source affirme qu'en fait, la faute incombe aux Jukun qui ont un jour refusé de prendre leur part de céréales en exigeant la restitution des terres avant une saison de récoltes abondantes. Ce fut le début d'une guerre tribale. Finalement les Jukun parvinrent à chasser les igbo de leurs terres. Mais les igbo qui avaient enterré leur famille sur les terres Jukun, ne pouvaient plus en rapatrier les restes. Ils ont essayé de négocier pour avoir le droit d'honorer leurs morts sur les terres Jukun, mais ces derniers ne voulaient plus voir de igbo sur leurs terres, même pour organiser des cérémonies commémoratives mortuaires. Des rumeurs insinuaient que les Jukun profanaient les tombes de leurs parents. Désespérés, les igbo consultèrent les sages et les divins. Tous se sont réunis et ont eu en rêve la révélation et solution. Les esprits leurs ont dit que leurs parents enterrés là-bas se plaignaient d’être abandonnés chez leurs ennemis et qu'au fond de leur tombeau, ils étaient fâchés contre leurs descendants. Par coïncidence, les récoltes de cette année-là furent très mauvaises en raison d'un début de sécheresse, ce qui était très inhabituel. Alors ils ont pris au sérieux les signes en s'attendant au pire. Le peuple igbo consulta à nouveau les sages et les devins pour leur demander conseil sur ce qu’il fallait faire pour atténuer la colère de leurs parents. Après un autre rêve, les devins ont ordonné à tout le peuple Tiv de fabriquer chacun un cercueil et un squelette en miniature. On l'enterrerait chez soi après avoir fait les rites que l’on faisait aux morts et on organisa une grande cérémonie funéraire à la grande place du marché d’alors. Voila comment l’idée des statues squelettes est née chez les Tiv. Et au fur et à mesure que les temps passaient, ils commencèrent à sculpter des squelettes de plus en plus grands. Chaque époque avait à peu près sa taille. Aujourd’hui la taille a une signification et veut dire que l’homme est né (petit squelette), l’homme a grandi (taille moyenne) puis l’homme a vécu (grande taille). Les cercueils se dégradent, mais les statues finissent par être revendues. D'autres objets servent de support tel un siège caryatide, aux crâne des ancêtres. Il est possible que ce culte ait débordé sur les Ibo qui ont aussi des artefacts stylistiquement proches.

Nr. 99666602

Eladva
Fej koponya - Igbo - Nigéria  (Nincs minimálár)

Fej koponya - Igbo - Nigéria (Nincs minimálár)

Tête en bronze du Nigéria.

Les igbo, Jukun, Chamba et Mumuye sont des ethnies géographiquement proches les unes des autres. Gravitent aussi autour de ces ethnies connues et reconnues de petites ethnies minoritaires qui sont géographiquement situées dans l'état de Taraba, capitale Jalingo.

Avant l’arrivée des colons européens, les igbo étaits reconnus pour être aimer travailler la terre, avec une propension à étendre leurs territoires cultivables jusqu’à en dépasser les limites imparties.

Ils finirent par empiéter sur les terres de leurs voisins les Jukun, créant ainsi de fortes tensions.

Au départ une conciliation heureuse fut trouvée : en échange d'une partie de leurs récoltes les Jukun acceptère la gêne causée.

Mais les années passant, les nouvelles générations igbo décidèrent "d'oublier" cet arrangement. Leur surnombre numéraire a permis de généraliser la spoliation des Jukun sans plus de contrepartie.

Des affrontements virent le jour...

Une autre source affirme qu'en fait, la faute incombe aux Jukun qui ont un jour refusé de prendre leur part de céréales en exigeant la restitution des terres avant une saison de récoltes abondantes.

Ce fut le début d'une guerre tribale. Finalement les Jukun parvinrent à chasser les igbo de leurs terres.

Mais les igbo qui avaient enterré leur famille sur les terres Jukun, ne pouvaient plus en rapatrier les restes. Ils ont essayé de négocier pour avoir le droit d'honorer leurs morts sur les terres Jukun, mais ces derniers ne voulaient plus voir de igbo sur leurs terres, même pour organiser des cérémonies commémoratives mortuaires.

Des rumeurs insinuaient que les Jukun profanaient les tombes de leurs parents.

Désespérés, les igbo consultèrent les sages et les divins. Tous se sont réunis et ont eu en rêve la révélation et solution.

Les esprits leurs ont dit que leurs parents enterrés là-bas se plaignaient d’être abandonnés chez leurs ennemis et qu'au fond de leur tombeau, ils étaient fâchés contre leurs descendants.

Par coïncidence, les récoltes de cette année-là furent très mauvaises en raison d'un début de sécheresse, ce qui était très inhabituel.

Alors ils ont pris au sérieux les signes en s'attendant au pire.

Le peuple igbo consulta à nouveau les sages et les devins pour leur demander conseil sur ce qu’il fallait faire pour atténuer la colère de leurs parents.

Après un autre rêve, les devins ont ordonné à tout le peuple Tiv de fabriquer chacun un cercueil et un squelette en miniature. On l'enterrerait chez soi après avoir fait les rites que l’on faisait aux morts et on organisa une grande cérémonie funéraire à la grande place du marché d’alors.

Voila comment l’idée des statues squelettes est née chez les Tiv.

Et au fur et à mesure que les temps passaient, ils commencèrent à sculpter des squelettes de plus en plus grands. Chaque époque avait à peu près sa taille. Aujourd’hui la taille a une signification et veut dire que l’homme est né (petit squelette), l’homme a grandi (taille moyenne) puis l’homme a vécu (grande taille). Les cercueils se dégradent, mais les statues finissent par être revendues.

D'autres objets servent de support tel un siège caryatide, aux crâne des ancêtres.

Il est possible que ce culte ait débordé sur les Ibo qui ont aussi des artefacts stylistiquement proches.

Végső licit
€ 50
Julien Gauthier
Szakértő
Becslés  € 140 - € 170

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