Bachibouzouk (1977) - Warhol vs Banksy vs Hirst

02
jours
23
heures
14
minutes
00
secondes
Offre actuelle
€ 54
Sans prix de réserve
Antonio Yera
Expert
Estimation  € 150 - € 200
8 autres personnes s’intéressent cet objet
beEnchérisseur 6534 54 €
nlEnchérisseur 6961 45 €
beEnchérisseur 6534 40 €

Protection des acheteurs Catawiki

Votre paiement est en sécurité chez nous jusqu’à la réception de votre objet.Voir les informations

Trustpilot 4.4 | 122630 d’avis

Noté Excellent sur Trustpilot.

Bachibouzouk (1977) signé à la main et réalisé en Belgique en 2025, Warhol vs Banksy vs Hirst est une peinture à l’acrylique en édition limitée 2/20, 60 cm sur 42 cm, style street art, état Fair.

Résumé assisté par IA

Description fournie par le vendeur

Superb work by the Brussels artist Bachibouzouk.

Dans cette série, l’artiste bruxellois Bachibouzouk joue à saute-mouton avec l’histoire de l’art comme un enfant trop curieux qui aurait mis la main sur un musée et une bombe de peinture. À travers ces « Tomato Soup Can », il orchestre une collision joyeusement improbable entre trois géants de l’art contemporain : Warhol, Banksy et Hirst. Un tricentrisme pop, urbain et clinique, passé à la moulinette aérosol, comme seul Bachibouzouk sait le faire.

Le point de départ, évidemment, est le poster de Banksy, lui-même déjà clin d’œil (ou clin d’œil du clin d’œil) à l’iconique Campbell’s Soup d’Andy Warhol. Bachibouzouk s’y glisse comme le quatrième mousquetaire, mais armé non pas d’une épée, mais de dots — ces fameux points obsessionnels de Damien Hirst, qu’il dépose soigneusement sur chaque canette. Le résultat : un dialogue entre trois esthétiques dont aucune ne demandait d’interlocuteur… et pourtant, ensemble, elles se mettent à parler, fort, et même à rire.

Les aérosols, soigneusement sélectionnés dans une palette vibrante, viennent défier l’héritage trop sage des ateliers. Chaque couleur semble proclamer : « Et si l’art contemporain arrêtait de se prendre au sérieux trois minutes ? »
Mais derrière l’humour, une véritable réflexion : Bachibouzouk questionne la répétition industrielle des icônes artistiques. Que devient un symbole lorsqu’on le copie, puis qu’on copie la copie, puis qu’on repeint par-dessus des références elles-mêmes déjà dérivées ? Peut-être quelque chose de plus sincère : une œuvre qui accepte qu’elle n’est pas née seule, mais dans un brouhaha culturel, un carnaval d’images et de détournements.

En superposant ces couches de références, l’artiste transforme la canette — objet banal, symbole de consommation, fétiche pop — en une métaphore de notre époque saturée : tout est déjà vu, remixé, dérivé… et pourtant, grâce à un geste singulier (et quelques bons sprays), quelque chose de nouveau surgit. Un peu comme si, à force de tourner dans un musée de miroirs, on finissait par y apercevoir son propre reflet.

Avec beaucoup d’esprit, un brin d’irrévérence et une lucidité joyeuse, Bachibouzouk nous rappelle que l’art est peut-être avant tout un jeu : un jeu sérieux, oui, mais un jeu quand même. Et dans ce jeu-là, ses Tomato Soup Can sont les pièces qui font sauter tous les verrous.

Superb work by the Brussels artist Bachibouzouk.

Dans cette série, l’artiste bruxellois Bachibouzouk joue à saute-mouton avec l’histoire de l’art comme un enfant trop curieux qui aurait mis la main sur un musée et une bombe de peinture. À travers ces « Tomato Soup Can », il orchestre une collision joyeusement improbable entre trois géants de l’art contemporain : Warhol, Banksy et Hirst. Un tricentrisme pop, urbain et clinique, passé à la moulinette aérosol, comme seul Bachibouzouk sait le faire.

Le point de départ, évidemment, est le poster de Banksy, lui-même déjà clin d’œil (ou clin d’œil du clin d’œil) à l’iconique Campbell’s Soup d’Andy Warhol. Bachibouzouk s’y glisse comme le quatrième mousquetaire, mais armé non pas d’une épée, mais de dots — ces fameux points obsessionnels de Damien Hirst, qu’il dépose soigneusement sur chaque canette. Le résultat : un dialogue entre trois esthétiques dont aucune ne demandait d’interlocuteur… et pourtant, ensemble, elles se mettent à parler, fort, et même à rire.

Les aérosols, soigneusement sélectionnés dans une palette vibrante, viennent défier l’héritage trop sage des ateliers. Chaque couleur semble proclamer : « Et si l’art contemporain arrêtait de se prendre au sérieux trois minutes ? »
Mais derrière l’humour, une véritable réflexion : Bachibouzouk questionne la répétition industrielle des icônes artistiques. Que devient un symbole lorsqu’on le copie, puis qu’on copie la copie, puis qu’on repeint par-dessus des références elles-mêmes déjà dérivées ? Peut-être quelque chose de plus sincère : une œuvre qui accepte qu’elle n’est pas née seule, mais dans un brouhaha culturel, un carnaval d’images et de détournements.

En superposant ces couches de références, l’artiste transforme la canette — objet banal, symbole de consommation, fétiche pop — en une métaphore de notre époque saturée : tout est déjà vu, remixé, dérivé… et pourtant, grâce à un geste singulier (et quelques bons sprays), quelque chose de nouveau surgit. Un peu comme si, à force de tourner dans un musée de miroirs, on finissait par y apercevoir son propre reflet.

Avec beaucoup d’esprit, un brin d’irrévérence et une lucidité joyeuse, Bachibouzouk nous rappelle que l’art est peut-être avant tout un jeu : un jeu sérieux, oui, mais un jeu quand même. Et dans ce jeu-là, ses Tomato Soup Can sont les pièces qui font sauter tous les verrous.

Détails

Artiste
Bachibouzouk (1977)
Vendu avec cadre
Non
Vendu(e) par
Propriétaire ou revendeur
Édition
Édition limitée
Edition number
2/20
Titre de l'œuvre d'art
Warhol vs Banksy vs Hirst
Technique
Peinture acrylique
Signature
Signé à la main
Pays d’origine
Belgique
Année
2025
Condition
État correct
Hauteur
60 cm
Largeur
42 cm
Style
Street art
Période
2020 et après
Vendu par
BelgiqueVérifié
148
Objets vendus
Particulier

Objets similaires

Pour vous

Art moderne et contemporain