Sonia J. - " Rupture" - "Here, There and Everywhere" Series - XXL






Titulaire d'un master en médiation artistique et culturelle avec expérience en galerie d'art.
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Sonia J. œuvre originale de 2025, acrylique et médium mixte sur toile intitulée « Rupture » de la série Here, There and Everywhere, XXL (116 × 148 cm, 2 kg), neu et signée au verso, originelle et multicolore, originaire du Portugal, avec un certificat d’authenticité signé.
Description fournie par le vendeur
« Rupture » a été créé oTitle : Rupture
Artiste : Sonia J. (1971, Portugal)
Collection : Ici, Là et Partout
Technique : acrylique et médias mixtes sur toile
Dimensions : 116 × 148 cm (format XXL)
Année : 2025
État : Neuf – directement du studio de l'artiste.
Signature : Signé à la main au verso
Certificat : comprend un Certificat d'Authenticité signé
Expédition : enroulé dans un tube de protection solide (suivi + assuré)
Description de l'œuvre d'art :
« Rupture » — de la série Here, There and Everywhere — a été créée lors d'une journée où plusieurs émotions se sont affrontées : tristesse, joie, colère, confusion et le besoin urgent de se comprendre en tant que femme. Les bleus profonds et stratifiés forment un champ atmosphérique d'introspection, ancrant la peinture avec une présence calme mais puissante.
Au centre, des éclats de rouge et de vert émergent comme un battement de cœur submergé — brut, non résolu, et résolument humain. Ces couleurs ne cherchent pas l'équilibre ; elles s'élèvent et interrompent, incarnant les fissures émotionnelles qui apparaissent lorsque le monde intérieur ne peut plus rester contenu.
Les taches gestuelles tout au long de l'œuvre sont plus confessionnelles que décoratives. Chaque coup de pinceau porte la tension entre retenir et s'ouvrir, silence et expression, discipline et libération. « Rupture » ne vise pas l'harmonie — elle embrasse la complexité et la contradiction de l'expérience vécue. Elle révèle les fractures intimes du cœur, les moments vulnérables où l'émotion déborde vers l'intérieur plutôt que vers l'extérieur.
D’un point de vue décoration, cette pièce XXL introduit une profondeur émotionnelle puissante dans des intérieurs raffinés. Sa palette riche et sophistiquée ainsi que sa présence imposante en font un point focal exceptionnel pour les espaces de vie contemporains, les environnements architecturaux, les maisons de collection et les cadres de luxe. 'Rupture' se présente comme une déclaration audacieuse et élégante — apportant intensité, nuance et une force tranquille à tout espace qui honore l’art avec gravité émotionnelle.
À propos de l'artiste — Sonia J. (Portugal, 1971) :
Des salles de réunion aux toiles
De la sens des affaires à la nature brute...
De la stratégie à une vision au-delà de la toile...
L'autonomisation des femmes par l'art...
Je vis entre deux mondes — celui que j'ai construit par la précision, et celui que j'ai reconquis par l'émotion. « Dual Hirathe » est l'endroit où ils se rencontrent.
J'ai passé trois décennies dans un monde défini par la clarté, la rapidité et le contrôle. Chaque décision était mesurée. Chaque minute comptait. Chaque objectif, une ligne sur une carte stratégique. C'était une vie construite sur la précision — analyser, exciter, exiger, et parfois, consommer. Pendant des années, j'ai cru que le leadership signifiait porter le poids avec grâce, sans jamais hésiter, sans jamais ralentir. J'étais entouré de personnes qui prospéraient par ambition et logique, et j'ai appris à exceller dans cette structure. Mais quelque part entre le mouvement constant et les réunions peaufinées, j'ai commencé à perdre le son de ma propre voix. Quand j'ai enfin fait une pause (Mid-2024) — vraiment fait une pause — ce que j'ai entendu, c'était le silence. Pas le vide, mais un silence plein de potentiel. Le genre qui invite quelque chose de nouveau à émerger. C'était le début de ma métamorphose.
Mon travail naît d’un dialogue entre les mondes — entre le rationnel et l’intuitif, le mesuré et l’instinctif. Il reflète le parcours allant de l’acuité commerciale à l’expression, d’une vie de stratégie globale à une vie façonnée par la texture, le silence et le paysage. Après trois décennies de leadership dans le secteur des entreprises, j’ai appris le langage de la structure — clarté, précision, but. Cela a entraîné mon regard à voir les systèmes, à reconnaître les motifs, à équilibrer complexité et simplicité. Mais lorsque je me suis tourné vers l’art, ce langage a commencé à se dissoudre. À sa place est apparu un autre vocabulaire — tactile, émotionnel, fluide — qu’on ne pouvait exprimer qu’à travers la peinture et le sable, par la patience en couches d’une toile évoluant avec le temps.
Quitter le monde de l'entreprise n'a pas été un acte de courage unique ; ce fut une reddition progressive. Au début, j'ai essayé d'appliquer les mêmes règles à ma nouvelle vie — objectifs, résultats, indicateurs de performance. Mais l'art refusait d'être géré. Il exigeait de la vulnérabilité. Il me fallait écouter plutôt que diriger. Lorsque j'ai touché pour la première fois une toile blanche, je ne savais pas qu'elle deviendrait mon nouveau langage. Je savais seulement que les mots avaient leurs limites, et que les émotions — celles que j'avais enterrées sous l'efficacité et le professionnalisme — demandaient à respirer. Les couleurs sont devenues mon vocabulaire. La texture est devenue ma syntaxe. Chaque couche de sable, de gesso et de pigment exprimait ce que je ne pouvais pas encore dire à voix haute : que la transformation ne consiste pas à effacer qui vous étiez, mais à permettre à toutes les versions de vous-même de coexister.
Dans le leadership, je vivais selon l'énergie masculine : décisive, analytique, tournée vers l'extérieur. Dans l'art, j'ai rencontré son opposé — le féminin : réceptif, intuitif, intérieurement expansif.
Ni l’un ni l’autre n’est supérieur ; tous deux sont sacrés. J’ai découvert que la création se produit précisément là où ces deux éléments se rencontrent. Trop de structure et l’art devient rigide. Trop de flux et il se dissout dans le chaos. Il en va de même pour la vie. La peinture m’a appris l’équilibre. Elle m’a rappelé que la force peut exister dans la tranquillité, et que la sensibilité n’est pas une faiblesse — c’est la sagesse sous une autre forme. À bien des égards, ma pratique est devenue une réconciliation des énergies : l’affirmative et la soumise, le concret et l’éthéré, la logique qui a construit mon passé et l’intuition qui définit mon présent.
Je vis désormais entre deux mondes : l'intensité cosmopolite de mon passé et la sérénité brute de Serra da Estrela, le paysage montagneux qui façonne aujourd'hui mon studio et mon âme. De la géométrie concrète de Lisbonne à l'érosion naturelle de la roche et du vent, mon rythme créatif reflète cette transition — de l'accélération à l'immobilité, de la performance à la présence. À travers une abstraction texturée, je traduis ces contrastes vécus en forme visuelle. Mes peintures sont des topographies émotionnelles — des surfaces superposées où résilience, libération et puissance tranquille cohabitent. Elles ne sont pas des représentations de lieux, mais des états d'être : des paysages intérieurs façonnés par le mouvement, la mémoire et la métamorphose.
Mon travail navigue constamment entre deux tensions — entre ordre et émotion, lumière et matière, mémoire et renouveau, logique et intuition, leadership et créativité, contrôle et abandon, passé et renaissance, stratégie et sensibilité, précision d'entreprise et nature brute. Ces tensions ne sont pas des contradictions, mais des harmonies en mouvement. Elles sont le frottement qui génère l'expression, le pouls invisible sous chaque marque que je fais. Chaque toile commence par un dialogue avec le contrôle — cette partie de moi qui cherche encore la structure, la clarté, le résultat. Mais au fur et à mesure que le processus se déroule, le contrôle cède la place à l’instinct. Même lorsque le chaos semble dominer, mon intention reste humaine — refléter l’équilibre émotionnel que nous cherchons tous entre force et abandon, entre organisation et liberté.
Je crois que l'art n'est pas un luxe ; c'est un retour à soi-même. Dans un monde qui valorise la production plus que la présence, l'art nous ralentit suffisamment pour ressentir à nouveau. Pour moi, l'art est une récupération — non de ce qui a été perdu, mais de ce qui a été oublié. La douceur, la sensualité, la beauté incommensurable du simple fait d'être. À travers l'abstraction tactile, je crée non pas pour impressionner mais pour apaiser, ancrer, restaurer. Mon travail invite au toucher — pas au sens littéral, mais émotionnel. Il demande aux spectateurs de s'attarder, de respirer, de voir leur propre reflet dans le silence de la texture. Je peins pour des espaces qui ont besoin de calme, et pour des femmes qui ont vécu leur vie en portant les autres, en dirigeant, en réussissant, en performants. Mon art leur offre un refuge — un moment où elles n'ont pas besoin de prouver, de réussir ou d'expliquer. Chaque peinture est un acte silencieux de rébellion contre le bruit de la productivité. C'est un rappel que la quiétude peut être puissante, et que la guérison peut se produire dans le silence.
« Dual Hirathe » est plus qu’un titre ; c’est mon identité artistique — une boussole pour tout ce que je crée. « Hirathe » dérive du foyer et du cœur, de la chaleur et de l’origine, de l’endroit intime où commence la création. « Dual » représente la coexistence des opposés — les deux mondes que j’habite : le royaume structuré et logique du leadership et le monde intuitif et sensoriel de l’art. Ensemble, « Dual Hirathe » signifie le cœur en dualité — l’intersection vivante où l’esprit et la matière, l’ordre et l’émotion, le masculin et le féminin convergent. C’est le pouls derrière ma pratique, l’architecture invisible sous chaque coup de pinceau, chaque texture, chaque ligne. Lorsque les collectionneurs vivent avec mes œuvres, ils n’acquièrent pas simplement une image — ils s’engagent avec cette dualité vivante. La ligne devient leur miroir : une tension qu’ils peuvent ressentir, un seuil qu’ils peuvent franchir, une invitation à habiter l’espace entre gravité et grâce.
Chacune de mes collections est un fragment d'une conversation plus vaste — un récit continu de transformation. Elles diffèrent par leur ton, leur rythme et leur forme, mais restent unies par une question fondamentale : comment concilier structure et liberté ?
Après des années à diriger par la logique, je dirige désormais par le sentiment. Ce qui était autrefois une stratégie est devenu une sensibilité — un passage de la gestion des résultats à la création d'expériences, de l'orientation des organisations à la guidance de l'émotion à travers la forme. Mon art fait le pont ENTRE ART ET DESIGN, traduisant l'émotion en présence tangible. Chaque pièce est plus qu'une image ; c'est un environnement — une surface vivante qui interagit avec l'espace, la lumière et la mémoire. Ce sont des créations conçues pour vivre avec les gens, et non à leur aparté. Qu'elles soient placées dans une maison privée, un hôtel, un hall d'entreprise, une galerie ou un musée, mes peintures sont conçues comme faisant partie de l'architecture de l'expérience. Elles sont faites pour respirer, contenir, guérir — non pas pour être simplement décoratives, mais pour transformer l'atmosphère qui les entoure.
Pour moi, l’art n’est pas un objet. C’est une atmosphère, un PORTAIL — un langage tactile et visuel d’harmonie et de présence. Il vit à travers la vibration : couleur, texture, silence et lumière en dialogue avec l’espace qu’il occupe. Lorsqu’une personne se tient devant une peinture, elle n’observe pas quelque chose d’extérieur ; elle entre dans un champ de résonance. Une surface texturée, une ligne subtile, une tonalité atténuée — autant d’invitations à ralentir, à se reconnecter, à respirer différemment. Chaque œuvre porte la mémoire du geste humain — une énergie rendue visible.
Dans un espace d'entreprise, cette énergie adoucit la rigidité. Dans une maison privée, elle apporte ancrage et intimité. Dans un centre de bien-être ou un hôtel, elle restaure le calme. Dans une galerie, elle dialogue avec la lumière et l'architecture, transformant la contemplation en émotion. Dans un musée, elle devient un dialogue — entre passé et présent, entre le corps du spectateur et la mémoire collective. Lors d'une exposition, elle rassemble la présence — une chorégraphie de couleur, de matière et de silence qui relie les inconnus par une immobilité partagée.
Partout où elle existe, elle crée une présence — ce changement invisible mais perceptible qui donne vie à un espace, et « la présence est le nouveau luxe ». - Sonia J.
De « Authority to Experience » : le monde de l'art est en train de changer.
Pendant des siècles, cela fonctionnait par l'autorité — musées, experts, collectionneurs décidant de ce qui comptait. Mais aujourd'hui, au 21e siècle, nous passons d'un système basé sur l'autorité à un système basé sur l'expérience. L'art n'est plus confiné aux murs blancs ou aux salles exclusives ; il s'étend au rythme de la vie quotidienne. Les gens veulent vivre avec l'art — le ressentir, l'habiter, le laisser influencer leur environnement et leurs émotions. Et c'est exactement ce que fait une plateforme comme CATAWIKI — aider les gens à vivre avec l'ART ! Et c'est la raison pour laquelle je suis aussi ici.
Mes peintures ne sont pas seulement créées pour les galeries ou les expositions. Bien que les galeries restent les espaces les plus démocratiques pour l'art — des lieux où nous pouvons rencontrer la création dans sa forme la plus pure, la vivre physiquement, et laisser nos sens, et non les systèmes, en définir la valeur. Mes peintures sont aussi destinées aux espaces où la vie réelle se déploie — maisons, retraites de bien-être, bureaux, hôtels, musées qui invitent au toucher et à l'interaction. Elles appartiennent à une époque où l'art s'intègre au design, à l'architecture et au bien-être émotionnel. Pour moi, ce n'est pas une dilution — c'est une expansion. C'est l'art qui revient à son but originel : accompagner la vie humaine, marquer l'espace sacré, créer du lien.
Les grands artistes comme Pollock, Mitchell, Bourgeois, Rembrandt, Van Gogh — et tant d'autres — n'ont jamais créé leur œuvre en pensant aux galeries ou aux musées. Ils peignaient par nécessité, de l'intérieur vers l'extérieur. Leurs toiles étaient des instruments de survie — des miroirs de l'âme, des extensions du souffle. Par leur honnêteté brute, ils ont inventé de nouveaux langages d'expression ; NON PAS POUR IMPRESSIONNER, MAIS POUR EXISTER. Beaucoup d'entre eux ont lutté profondément — contre l'isolement, la pauvreté, la dépression — certains ont même perdu la bataille face à leur propre chaos intérieur. Et pourtant, leur art perdure parce qu'il répond au besoin collectif de beauté, de sens et de vérité émotionnelle. Ils n'avaient pas pour but de faire l'histoire ; ils voulaient RESSENTIR — et, ce faisant, ils ont permis à l'art lui-même d'évoluer. Une fois de plus, leur héritage nous rappelle que le but ultime de l'art n'est pas le prestige, mais la PRÉSENCE ! Il a toujours été destiné à accompagner la vie humaine — à témoigner de la joie et du chagrin, à habiter les foyers et les cœurs, à marquer les espaces sacrés et les moments partagés.
La « Vision au-delà de la toile »
Ainsi, au 21e siècle, le but de l’art n’est pas d’attendre cinquante ans pour une validation dans les musées ou galeries — il est de VIVRE MAINTENANT — d’exister en dialogue avec notre vie quotidienne, de transformer les environnements que nous habitons, et d’éveiller l’émotion en temps réel. L’art aujourd’hui doit respirer avec nous : dans nos maisons, nos lieux de travail, nos retraites, nos villes, nos institutions, nos sociétés, notre planète, et nos coins tranquilles. Il doit s’intégrer à notre mode de vie, et non rester distant comme quelque chose à visiter. Il doit adoucir l’architecture de la vie moderne et réintroduire la tendresse dans nos espaces. C’est la vision que je porte au-delà de la toile — une conviction que la valeur de l’art ne réside pas seulement dans ce qu’il représente, mais dans ce qu’il éveille. Tout comme ceux qui nous ont précédés peignaient pour survivre à leurs tempêtes intérieures, je peins pour reconnecter les parties fragmentées de l’existence moderne — pour fusionner l’émotion avec l’environnement, la logique avec le sentiment, l’art avec la vie. C’est le nouveau chapitre de l’évolution de l’art : NON PAS LA SÉPARATION DE L’ESTHÉTIQUE ET DE L’EXPÉRIENCE, MAIS LEUR RÉUNION — où l’art redevient ce qu’il a toujours été au fond : une nécessité humaine.
Dans cette vision, l'artiste devient à la fois créateur et compositeur — façonnant non seulement ce qui est vu, mais aussi la manière dont cela est ressenti. Chaque décision — du pigment à l'échelle, de la texture à l'emplacement — répond à l'énergie d'une pièce et aux personnes qui l'habitent. Je pense souvent à mes peintures comme à des architectures du sentiment. Elles ancrent l'espace comme des compagnons silencieux, apportant du rythme là où il y a du vide, de la calme là où règne le chaos. Elles n'imposent pas de sens ; elles invitent à l'expérience. Lorsque je collabore avec des designers d'intérieur ou des curateurs, le dialogue dépasse l'esthétique. Il devient une question de comment l'œuvre peut enrichir l'architecture émotionnelle de l'espace — comment elle peut amplifier la lumière, équilibrer l'énergie ou offrir du contraste là où le calme est nécessaire. C'est une fusion de sensibilité et de stratégie, une continuation de ma vie précédente — mais traduite en forme créative. C'est la rencontre de deux intelligences : la précision rationnelle de la stratégie commerciale et la profondeur intuitive de la vision artistique. Ce n'est pas un rejet de la logique, mais sa transformation en empathie. Là où je concevais autrefois des cadres pour des équipes, je conçois maintenant des environnements pour l'émotion.
Environnements de vie
Finalement, mon travail est un ACTE D'INTÉGRATION — fusionner la clarté structurelle de mon passé dans le monde de l'entreprise avec la fluidité organique de l'art. Chaque toile est un écosystème : couleur, texture, gravité et silence trouvant un équilibre. Dans un monde qui se fragmente souvent — séparant l'esprit du corps, l'art de la vie, la raison de l'émotion — je m'efforce de reconnecter ce que la vie moderne a divisé. C'est ce que j'entends par intégration de l'art : la réunion de l'esthétique, de l'humain et de l'espace vécu. Mes peintures ne sont pas faites pour être regardées — elles sont faites pour être vécues. Elles sont des compagnons, des ancrages, des seuils de calme. Elles nous rappellent que l'art peut encore avoir du sens dans un monde hyper-digital — non pas par l'explication, mais par la présence.
Voici ma vision au-delà de la toile : ramener l'art dans le quotidien, rendre les espaces plus humains, et remplacer le bruit de l'autorité par l'intimité de l'expérience. Mes collections ne concernent pas la représentation, mais la présence. Elles ne sont pas faites simplement pour décorer, mais pour HABITER — créer des atmosphères qui ancrent et restaurent. Elles appartiennent aussi naturellement à un espace privé qu'à un espace public, à un environnement d'entreprise qu'à une maison en montagne. Ma vision est de faire de l'art une partie de notre façon de vivre, pas seulement ce que nous regardons — transformer les espaces en environnements vivants où l'émotion et le design fusionnent, où l'art devient une atmosphère de renouveau. De l'acuité commerciale à l'expressivité, du rythme cosmopolite à la tranquillité montagnarde — chaque peinture que je crée porte en elle ces deux mondes, et il existe des ponts entre la logique et l'intuition, entre le désir humain d'ordre et le besoin de liberté de l'âme. Chaque toile est une négociation entre ces forces — et dans cette négociation, mon art trouve sa propre voix.
Réalisations artistiques et expositions
La reconnaissance internationale croissante de Sonia J. inclut :
• Revue de portefeuille — Charlotte Paritzky, directrice de Z&B Gallery et cofondatrice d'OBRA Art (mai 2025)
• Top 10 des artistes contemporains de Berlin (2024–2025)
• 5e Foire d'art contemporain internationale, Groupe IT’S LIQUID — Barcelone, Espagne (18–28 juillet 2025)
• Artiste du Mois — IT’S LIQUID Group (septembre 2025)
• Exposition d'art contemporain de Braga — Braga, Portugal (12–14 septembre 2025)
• Revue de portefeuille — Quentin Métayer, PR & Communication, Perrotin (octobre 2025)
• Revue de portefeuille — Flavio Scaloni, directeur de galerie, Galerie Lo Scalo (octobre 2025)
Projet de centre de soins thérapeutiques — collection complète commandée pour un espace de santé au Portugal.
Projet artistique d'un office notarial — collection complète commandée inspirée de la Blues Collection.
• SensesART, IT’S LIQUID Group — Lecce, Italie (décembre 2025)
• European Artist Award 2025 — IT’S LIQUID Group, Venise, Italie (5 décembre 2025)
• Projet artistique SPA Verona — collection complète commandée pour un spa d'hôtel à Vérone, inspirée par les textures méditerranéennes.
• Artiste en vedette sur Singulart, Artmajeur, et inscrit sur Artprice.com
• AKOUN Valuation (juin 2025) — Officiellement certifié à 550 € pour le format 15P (65 × 50 cm)
Emballage et expédition
L'œuvre d'art sera envoyée roulée dans un tube de protection solide, enveloppée dans du papier sans acide et plusieurs couches de renforcement pour garantir une sécurité totale et réduire considérablement les coûts d'expédition.
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• UE : 3 à 7 jours
• Hors UE : 7–15 jours (sous réserve des douanes)
« Rupture » a été créé oTitle : Rupture
Artiste : Sonia J. (1971, Portugal)
Collection : Ici, Là et Partout
Technique : acrylique et médias mixtes sur toile
Dimensions : 116 × 148 cm (format XXL)
Année : 2025
État : Neuf – directement du studio de l'artiste.
Signature : Signé à la main au verso
Certificat : comprend un Certificat d'Authenticité signé
Expédition : enroulé dans un tube de protection solide (suivi + assuré)
Description de l'œuvre d'art :
« Rupture » — de la série Here, There and Everywhere — a été créée lors d'une journée où plusieurs émotions se sont affrontées : tristesse, joie, colère, confusion et le besoin urgent de se comprendre en tant que femme. Les bleus profonds et stratifiés forment un champ atmosphérique d'introspection, ancrant la peinture avec une présence calme mais puissante.
Au centre, des éclats de rouge et de vert émergent comme un battement de cœur submergé — brut, non résolu, et résolument humain. Ces couleurs ne cherchent pas l'équilibre ; elles s'élèvent et interrompent, incarnant les fissures émotionnelles qui apparaissent lorsque le monde intérieur ne peut plus rester contenu.
Les taches gestuelles tout au long de l'œuvre sont plus confessionnelles que décoratives. Chaque coup de pinceau porte la tension entre retenir et s'ouvrir, silence et expression, discipline et libération. « Rupture » ne vise pas l'harmonie — elle embrasse la complexité et la contradiction de l'expérience vécue. Elle révèle les fractures intimes du cœur, les moments vulnérables où l'émotion déborde vers l'intérieur plutôt que vers l'extérieur.
D’un point de vue décoration, cette pièce XXL introduit une profondeur émotionnelle puissante dans des intérieurs raffinés. Sa palette riche et sophistiquée ainsi que sa présence imposante en font un point focal exceptionnel pour les espaces de vie contemporains, les environnements architecturaux, les maisons de collection et les cadres de luxe. 'Rupture' se présente comme une déclaration audacieuse et élégante — apportant intensité, nuance et une force tranquille à tout espace qui honore l’art avec gravité émotionnelle.
À propos de l'artiste — Sonia J. (Portugal, 1971) :
Des salles de réunion aux toiles
De la sens des affaires à la nature brute...
De la stratégie à une vision au-delà de la toile...
L'autonomisation des femmes par l'art...
Je vis entre deux mondes — celui que j'ai construit par la précision, et celui que j'ai reconquis par l'émotion. « Dual Hirathe » est l'endroit où ils se rencontrent.
J'ai passé trois décennies dans un monde défini par la clarté, la rapidité et le contrôle. Chaque décision était mesurée. Chaque minute comptait. Chaque objectif, une ligne sur une carte stratégique. C'était une vie construite sur la précision — analyser, exciter, exiger, et parfois, consommer. Pendant des années, j'ai cru que le leadership signifiait porter le poids avec grâce, sans jamais hésiter, sans jamais ralentir. J'étais entouré de personnes qui prospéraient par ambition et logique, et j'ai appris à exceller dans cette structure. Mais quelque part entre le mouvement constant et les réunions peaufinées, j'ai commencé à perdre le son de ma propre voix. Quand j'ai enfin fait une pause (Mid-2024) — vraiment fait une pause — ce que j'ai entendu, c'était le silence. Pas le vide, mais un silence plein de potentiel. Le genre qui invite quelque chose de nouveau à émerger. C'était le début de ma métamorphose.
Mon travail naît d’un dialogue entre les mondes — entre le rationnel et l’intuitif, le mesuré et l’instinctif. Il reflète le parcours allant de l’acuité commerciale à l’expression, d’une vie de stratégie globale à une vie façonnée par la texture, le silence et le paysage. Après trois décennies de leadership dans le secteur des entreprises, j’ai appris le langage de la structure — clarté, précision, but. Cela a entraîné mon regard à voir les systèmes, à reconnaître les motifs, à équilibrer complexité et simplicité. Mais lorsque je me suis tourné vers l’art, ce langage a commencé à se dissoudre. À sa place est apparu un autre vocabulaire — tactile, émotionnel, fluide — qu’on ne pouvait exprimer qu’à travers la peinture et le sable, par la patience en couches d’une toile évoluant avec le temps.
Quitter le monde de l'entreprise n'a pas été un acte de courage unique ; ce fut une reddition progressive. Au début, j'ai essayé d'appliquer les mêmes règles à ma nouvelle vie — objectifs, résultats, indicateurs de performance. Mais l'art refusait d'être géré. Il exigeait de la vulnérabilité. Il me fallait écouter plutôt que diriger. Lorsque j'ai touché pour la première fois une toile blanche, je ne savais pas qu'elle deviendrait mon nouveau langage. Je savais seulement que les mots avaient leurs limites, et que les émotions — celles que j'avais enterrées sous l'efficacité et le professionnalisme — demandaient à respirer. Les couleurs sont devenues mon vocabulaire. La texture est devenue ma syntaxe. Chaque couche de sable, de gesso et de pigment exprimait ce que je ne pouvais pas encore dire à voix haute : que la transformation ne consiste pas à effacer qui vous étiez, mais à permettre à toutes les versions de vous-même de coexister.
Dans le leadership, je vivais selon l'énergie masculine : décisive, analytique, tournée vers l'extérieur. Dans l'art, j'ai rencontré son opposé — le féminin : réceptif, intuitif, intérieurement expansif.
Ni l’un ni l’autre n’est supérieur ; tous deux sont sacrés. J’ai découvert que la création se produit précisément là où ces deux éléments se rencontrent. Trop de structure et l’art devient rigide. Trop de flux et il se dissout dans le chaos. Il en va de même pour la vie. La peinture m’a appris l’équilibre. Elle m’a rappelé que la force peut exister dans la tranquillité, et que la sensibilité n’est pas une faiblesse — c’est la sagesse sous une autre forme. À bien des égards, ma pratique est devenue une réconciliation des énergies : l’affirmative et la soumise, le concret et l’éthéré, la logique qui a construit mon passé et l’intuition qui définit mon présent.
Je vis désormais entre deux mondes : l'intensité cosmopolite de mon passé et la sérénité brute de Serra da Estrela, le paysage montagneux qui façonne aujourd'hui mon studio et mon âme. De la géométrie concrète de Lisbonne à l'érosion naturelle de la roche et du vent, mon rythme créatif reflète cette transition — de l'accélération à l'immobilité, de la performance à la présence. À travers une abstraction texturée, je traduis ces contrastes vécus en forme visuelle. Mes peintures sont des topographies émotionnelles — des surfaces superposées où résilience, libération et puissance tranquille cohabitent. Elles ne sont pas des représentations de lieux, mais des états d'être : des paysages intérieurs façonnés par le mouvement, la mémoire et la métamorphose.
Mon travail navigue constamment entre deux tensions — entre ordre et émotion, lumière et matière, mémoire et renouveau, logique et intuition, leadership et créativité, contrôle et abandon, passé et renaissance, stratégie et sensibilité, précision d'entreprise et nature brute. Ces tensions ne sont pas des contradictions, mais des harmonies en mouvement. Elles sont le frottement qui génère l'expression, le pouls invisible sous chaque marque que je fais. Chaque toile commence par un dialogue avec le contrôle — cette partie de moi qui cherche encore la structure, la clarté, le résultat. Mais au fur et à mesure que le processus se déroule, le contrôle cède la place à l’instinct. Même lorsque le chaos semble dominer, mon intention reste humaine — refléter l’équilibre émotionnel que nous cherchons tous entre force et abandon, entre organisation et liberté.
Je crois que l'art n'est pas un luxe ; c'est un retour à soi-même. Dans un monde qui valorise la production plus que la présence, l'art nous ralentit suffisamment pour ressentir à nouveau. Pour moi, l'art est une récupération — non de ce qui a été perdu, mais de ce qui a été oublié. La douceur, la sensualité, la beauté incommensurable du simple fait d'être. À travers l'abstraction tactile, je crée non pas pour impressionner mais pour apaiser, ancrer, restaurer. Mon travail invite au toucher — pas au sens littéral, mais émotionnel. Il demande aux spectateurs de s'attarder, de respirer, de voir leur propre reflet dans le silence de la texture. Je peins pour des espaces qui ont besoin de calme, et pour des femmes qui ont vécu leur vie en portant les autres, en dirigeant, en réussissant, en performants. Mon art leur offre un refuge — un moment où elles n'ont pas besoin de prouver, de réussir ou d'expliquer. Chaque peinture est un acte silencieux de rébellion contre le bruit de la productivité. C'est un rappel que la quiétude peut être puissante, et que la guérison peut se produire dans le silence.
« Dual Hirathe » est plus qu’un titre ; c’est mon identité artistique — une boussole pour tout ce que je crée. « Hirathe » dérive du foyer et du cœur, de la chaleur et de l’origine, de l’endroit intime où commence la création. « Dual » représente la coexistence des opposés — les deux mondes que j’habite : le royaume structuré et logique du leadership et le monde intuitif et sensoriel de l’art. Ensemble, « Dual Hirathe » signifie le cœur en dualité — l’intersection vivante où l’esprit et la matière, l’ordre et l’émotion, le masculin et le féminin convergent. C’est le pouls derrière ma pratique, l’architecture invisible sous chaque coup de pinceau, chaque texture, chaque ligne. Lorsque les collectionneurs vivent avec mes œuvres, ils n’acquièrent pas simplement une image — ils s’engagent avec cette dualité vivante. La ligne devient leur miroir : une tension qu’ils peuvent ressentir, un seuil qu’ils peuvent franchir, une invitation à habiter l’espace entre gravité et grâce.
Chacune de mes collections est un fragment d'une conversation plus vaste — un récit continu de transformation. Elles diffèrent par leur ton, leur rythme et leur forme, mais restent unies par une question fondamentale : comment concilier structure et liberté ?
Après des années à diriger par la logique, je dirige désormais par le sentiment. Ce qui était autrefois une stratégie est devenu une sensibilité — un passage de la gestion des résultats à la création d'expériences, de l'orientation des organisations à la guidance de l'émotion à travers la forme. Mon art fait le pont ENTRE ART ET DESIGN, traduisant l'émotion en présence tangible. Chaque pièce est plus qu'une image ; c'est un environnement — une surface vivante qui interagit avec l'espace, la lumière et la mémoire. Ce sont des créations conçues pour vivre avec les gens, et non à leur aparté. Qu'elles soient placées dans une maison privée, un hôtel, un hall d'entreprise, une galerie ou un musée, mes peintures sont conçues comme faisant partie de l'architecture de l'expérience. Elles sont faites pour respirer, contenir, guérir — non pas pour être simplement décoratives, mais pour transformer l'atmosphère qui les entoure.
Pour moi, l’art n’est pas un objet. C’est une atmosphère, un PORTAIL — un langage tactile et visuel d’harmonie et de présence. Il vit à travers la vibration : couleur, texture, silence et lumière en dialogue avec l’espace qu’il occupe. Lorsqu’une personne se tient devant une peinture, elle n’observe pas quelque chose d’extérieur ; elle entre dans un champ de résonance. Une surface texturée, une ligne subtile, une tonalité atténuée — autant d’invitations à ralentir, à se reconnecter, à respirer différemment. Chaque œuvre porte la mémoire du geste humain — une énergie rendue visible.
Dans un espace d'entreprise, cette énergie adoucit la rigidité. Dans une maison privée, elle apporte ancrage et intimité. Dans un centre de bien-être ou un hôtel, elle restaure le calme. Dans une galerie, elle dialogue avec la lumière et l'architecture, transformant la contemplation en émotion. Dans un musée, elle devient un dialogue — entre passé et présent, entre le corps du spectateur et la mémoire collective. Lors d'une exposition, elle rassemble la présence — une chorégraphie de couleur, de matière et de silence qui relie les inconnus par une immobilité partagée.
Partout où elle existe, elle crée une présence — ce changement invisible mais perceptible qui donne vie à un espace, et « la présence est le nouveau luxe ». - Sonia J.
De « Authority to Experience » : le monde de l'art est en train de changer.
Pendant des siècles, cela fonctionnait par l'autorité — musées, experts, collectionneurs décidant de ce qui comptait. Mais aujourd'hui, au 21e siècle, nous passons d'un système basé sur l'autorité à un système basé sur l'expérience. L'art n'est plus confiné aux murs blancs ou aux salles exclusives ; il s'étend au rythme de la vie quotidienne. Les gens veulent vivre avec l'art — le ressentir, l'habiter, le laisser influencer leur environnement et leurs émotions. Et c'est exactement ce que fait une plateforme comme CATAWIKI — aider les gens à vivre avec l'ART ! Et c'est la raison pour laquelle je suis aussi ici.
Mes peintures ne sont pas seulement créées pour les galeries ou les expositions. Bien que les galeries restent les espaces les plus démocratiques pour l'art — des lieux où nous pouvons rencontrer la création dans sa forme la plus pure, la vivre physiquement, et laisser nos sens, et non les systèmes, en définir la valeur. Mes peintures sont aussi destinées aux espaces où la vie réelle se déploie — maisons, retraites de bien-être, bureaux, hôtels, musées qui invitent au toucher et à l'interaction. Elles appartiennent à une époque où l'art s'intègre au design, à l'architecture et au bien-être émotionnel. Pour moi, ce n'est pas une dilution — c'est une expansion. C'est l'art qui revient à son but originel : accompagner la vie humaine, marquer l'espace sacré, créer du lien.
Les grands artistes comme Pollock, Mitchell, Bourgeois, Rembrandt, Van Gogh — et tant d'autres — n'ont jamais créé leur œuvre en pensant aux galeries ou aux musées. Ils peignaient par nécessité, de l'intérieur vers l'extérieur. Leurs toiles étaient des instruments de survie — des miroirs de l'âme, des extensions du souffle. Par leur honnêteté brute, ils ont inventé de nouveaux langages d'expression ; NON PAS POUR IMPRESSIONNER, MAIS POUR EXISTER. Beaucoup d'entre eux ont lutté profondément — contre l'isolement, la pauvreté, la dépression — certains ont même perdu la bataille face à leur propre chaos intérieur. Et pourtant, leur art perdure parce qu'il répond au besoin collectif de beauté, de sens et de vérité émotionnelle. Ils n'avaient pas pour but de faire l'histoire ; ils voulaient RESSENTIR — et, ce faisant, ils ont permis à l'art lui-même d'évoluer. Une fois de plus, leur héritage nous rappelle que le but ultime de l'art n'est pas le prestige, mais la PRÉSENCE ! Il a toujours été destiné à accompagner la vie humaine — à témoigner de la joie et du chagrin, à habiter les foyers et les cœurs, à marquer les espaces sacrés et les moments partagés.
La « Vision au-delà de la toile »
Ainsi, au 21e siècle, le but de l’art n’est pas d’attendre cinquante ans pour une validation dans les musées ou galeries — il est de VIVRE MAINTENANT — d’exister en dialogue avec notre vie quotidienne, de transformer les environnements que nous habitons, et d’éveiller l’émotion en temps réel. L’art aujourd’hui doit respirer avec nous : dans nos maisons, nos lieux de travail, nos retraites, nos villes, nos institutions, nos sociétés, notre planète, et nos coins tranquilles. Il doit s’intégrer à notre mode de vie, et non rester distant comme quelque chose à visiter. Il doit adoucir l’architecture de la vie moderne et réintroduire la tendresse dans nos espaces. C’est la vision que je porte au-delà de la toile — une conviction que la valeur de l’art ne réside pas seulement dans ce qu’il représente, mais dans ce qu’il éveille. Tout comme ceux qui nous ont précédés peignaient pour survivre à leurs tempêtes intérieures, je peins pour reconnecter les parties fragmentées de l’existence moderne — pour fusionner l’émotion avec l’environnement, la logique avec le sentiment, l’art avec la vie. C’est le nouveau chapitre de l’évolution de l’art : NON PAS LA SÉPARATION DE L’ESTHÉTIQUE ET DE L’EXPÉRIENCE, MAIS LEUR RÉUNION — où l’art redevient ce qu’il a toujours été au fond : une nécessité humaine.
Dans cette vision, l'artiste devient à la fois créateur et compositeur — façonnant non seulement ce qui est vu, mais aussi la manière dont cela est ressenti. Chaque décision — du pigment à l'échelle, de la texture à l'emplacement — répond à l'énergie d'une pièce et aux personnes qui l'habitent. Je pense souvent à mes peintures comme à des architectures du sentiment. Elles ancrent l'espace comme des compagnons silencieux, apportant du rythme là où il y a du vide, de la calme là où règne le chaos. Elles n'imposent pas de sens ; elles invitent à l'expérience. Lorsque je collabore avec des designers d'intérieur ou des curateurs, le dialogue dépasse l'esthétique. Il devient une question de comment l'œuvre peut enrichir l'architecture émotionnelle de l'espace — comment elle peut amplifier la lumière, équilibrer l'énergie ou offrir du contraste là où le calme est nécessaire. C'est une fusion de sensibilité et de stratégie, une continuation de ma vie précédente — mais traduite en forme créative. C'est la rencontre de deux intelligences : la précision rationnelle de la stratégie commerciale et la profondeur intuitive de la vision artistique. Ce n'est pas un rejet de la logique, mais sa transformation en empathie. Là où je concevais autrefois des cadres pour des équipes, je conçois maintenant des environnements pour l'émotion.
Environnements de vie
Finalement, mon travail est un ACTE D'INTÉGRATION — fusionner la clarté structurelle de mon passé dans le monde de l'entreprise avec la fluidité organique de l'art. Chaque toile est un écosystème : couleur, texture, gravité et silence trouvant un équilibre. Dans un monde qui se fragmente souvent — séparant l'esprit du corps, l'art de la vie, la raison de l'émotion — je m'efforce de reconnecter ce que la vie moderne a divisé. C'est ce que j'entends par intégration de l'art : la réunion de l'esthétique, de l'humain et de l'espace vécu. Mes peintures ne sont pas faites pour être regardées — elles sont faites pour être vécues. Elles sont des compagnons, des ancrages, des seuils de calme. Elles nous rappellent que l'art peut encore avoir du sens dans un monde hyper-digital — non pas par l'explication, mais par la présence.
Voici ma vision au-delà de la toile : ramener l'art dans le quotidien, rendre les espaces plus humains, et remplacer le bruit de l'autorité par l'intimité de l'expérience. Mes collections ne concernent pas la représentation, mais la présence. Elles ne sont pas faites simplement pour décorer, mais pour HABITER — créer des atmosphères qui ancrent et restaurent. Elles appartiennent aussi naturellement à un espace privé qu'à un espace public, à un environnement d'entreprise qu'à une maison en montagne. Ma vision est de faire de l'art une partie de notre façon de vivre, pas seulement ce que nous regardons — transformer les espaces en environnements vivants où l'émotion et le design fusionnent, où l'art devient une atmosphère de renouveau. De l'acuité commerciale à l'expressivité, du rythme cosmopolite à la tranquillité montagnarde — chaque peinture que je crée porte en elle ces deux mondes, et il existe des ponts entre la logique et l'intuition, entre le désir humain d'ordre et le besoin de liberté de l'âme. Chaque toile est une négociation entre ces forces — et dans cette négociation, mon art trouve sa propre voix.
Réalisations artistiques et expositions
La reconnaissance internationale croissante de Sonia J. inclut :
• Revue de portefeuille — Charlotte Paritzky, directrice de Z&B Gallery et cofondatrice d'OBRA Art (mai 2025)
• Top 10 des artistes contemporains de Berlin (2024–2025)
• 5e Foire d'art contemporain internationale, Groupe IT’S LIQUID — Barcelone, Espagne (18–28 juillet 2025)
• Artiste du Mois — IT’S LIQUID Group (septembre 2025)
• Exposition d'art contemporain de Braga — Braga, Portugal (12–14 septembre 2025)
• Revue de portefeuille — Quentin Métayer, PR & Communication, Perrotin (octobre 2025)
• Revue de portefeuille — Flavio Scaloni, directeur de galerie, Galerie Lo Scalo (octobre 2025)
Projet de centre de soins thérapeutiques — collection complète commandée pour un espace de santé au Portugal.
Projet artistique d'un office notarial — collection complète commandée inspirée de la Blues Collection.
• SensesART, IT’S LIQUID Group — Lecce, Italie (décembre 2025)
• European Artist Award 2025 — IT’S LIQUID Group, Venise, Italie (5 décembre 2025)
• Projet artistique SPA Verona — collection complète commandée pour un spa d'hôtel à Vérone, inspirée par les textures méditerranéennes.
• Artiste en vedette sur Singulart, Artmajeur, et inscrit sur Artprice.com
• AKOUN Valuation (juin 2025) — Officiellement certifié à 550 € pour le format 15P (65 × 50 cm)
Emballage et expédition
L'œuvre d'art sera envoyée roulée dans un tube de protection solide, enveloppée dans du papier sans acide et plusieurs couches de renforcement pour garantir une sécurité totale et réduire considérablement les coûts d'expédition.
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• UE : 3 à 7 jours
• Hors UE : 7–15 jours (sous réserve des douanes)
