Alfred de Musset - Oeuvres Complètes - 1897-1901





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Œuvre complète d'Alfred de Musset ; il manque le onzième et dernier volume, intitulé « L'œuvre d'Alfred de Musset. Extraits choisis et annotés en vue de la jeunesse, par un ancien professeur de l'Université ».
Dix volumes
Œuvres complètes d'Alfred de Musset
Premières Poésies, 1829-1835 - 1 volume
Poésies Nouvelles, 1835-1852 - 1 volume
Comédies et proverbes - 3 volumes
Nouvelles - 1 volume
Contes - 1 volume
La Confession d'un enfant du siècle - un volume
Mélanges de littérature et de critique - 1 volume
Oeuvres posthumes - 1 volume
Auteur : Alfred de Musset
Anno : 1897-1901
nouvelle édition
Casa Éditrice : Paris - Bibliothèque-Charpentier Eugene Fasquelle Éditeur
Dimensions : 18,7 x 12,0 cm
Pages : 3484
Total : 392 (Volume I) - 324 (Volume II) - 374 (Volume III) - 351 (Volume IV) - 359 (Volume V) - 350 (Volume VI) - 313 (Volume VII) - 355 (Volume VIII) - 404 (Volume IX) - 262 (Volume X)
Couvertures rigides non éditoriales avec nervures et titres au dos.
En excellent état : pages en excellent état, couvertures en excellent état (voir les photos).
Alfred Louis Charles de Musset-Pathay (Paris, 11 décembre 1810 – Paris, 2 mai 1857) était un poète, écrivain et dramaturge français, l'une des figures emblématiques du romantisme littéraire.
Appartenant à une famille aisée, affectueuse et raffinée, il est né à Paris en 1810. Son père, Victor de Musset, était un haut fonctionnaire du Ministère de la Guerre et un littérateur, connaisseur approfondi de Jean-Jacques Rousseau, dont il a édité les œuvres ; la figure de Rousseau sera fondamentale dans la formation du jeune Alfred. À sept ans, il a commencé à fréquenter le prestigieux Lycée Henri-IV et a commencé dès 1824 à écrire des vers ; en 1827, il a obtenu le deuxième prix de dissertation latine au Concours général, un prix destiné chaque année à récompenser les meilleurs élèves.
Après s'être essayé à la médecine, au droit, à l'étude de la langue anglaise et au piano, Musset abandonna rapidement ces disciplines car il n'était intéressé que par la littérature. À partir de 1828, il commença à fréquenter le salon de Charles Nodier à la Bibliothèque de l'Arsenal, où il rencontra Alfred de Vigny et Sainte-Beuve ; en raison de sa grande propension à l'écriture, il devint rapidement l'enfant prodige du romantisme français. À vingt ans, sa renommée littéraire, encore naissante, s'accompagnait déjà d'une vie désordonnée, marquée par une attitude de dandy, mais aussi par de graves problèmes d'alcoolisme. S'étant tourné vers la poésie à la fois par désir de vie mondaine et par véritable vocation, il ne s'engagea pleinement dans l'art qu'après la mort de son père, en 1832, victime d'une épidémie de choléra.
En 1830, année où eut lieu la célèbre Bataille d'Hernani en défense de l'œuvre de Victor Hugo, Musset tenta sa chance en écrivant pour le théâtre, qui à l'époque était le seul genre littéraire pouvant garantir un certain revenu aux auteurs ; mais, après l'échec de sa représentation Nuit Vénitienne, Musset dira « adieu aux scènes (et pour longtemps) » (d'une lettre à Prosper Chalas).
En 1833, lors d’un dîner auquel participaient les collaborateurs de la Revue des Deux Mondes, Musset fit la connaissance de George Sand ; après un séjour romantique passé avec elle à Fontainebleau, le couple partit pour l’Italie. À Venise, cependant, le poète tomba gravement malade et Sand le trahit en entrelaçant une relation avec le médecin qui le soignait, Pietro Pagello. Rentré seul à Paris, il ne fut rejoint par elle que quelques mois plus tard ; la réconciliation dura un peu moins d’un an, tourmentée par des disputes continues, et se termina en mars 1835.[1]
Les principaux ouvrages de sa période la plus prolifique, allant de 1832 à 1841, furent le drame romantique Lorenzaccio, publié en 1834 lors de sa relation tumultueuse avec George Sand, ainsi que Fantasio et On ne badine pas avec l'amour, tous deux publiés la même année. Il publia parallèlement son chef-d'œuvre lyrique Les Nuits (Nuits de mai, d'août, d'octobre, de décembre, 1835-1837), traitant de thèmes liés entre eux : la douleur, l'amour et l'inspiration, ainsi que le roman autobiographique La confession d'un fils du siècle (1836), peut-être son œuvre la plus célèbre.
Bibliothécaire au ministère de l'Intérieur sous la monarchie de juillet, il est démis de ses fonctions en 1848 ; il devient par la suite bibliothécaire au ministère de l'Éducation nationale sous le Second Empire. Il reçoit la Légion d'honneur le 24 avril 1845, à la même période où cette distinction est également attribuée à Honoré de Balzac, et il est élu à l'Académie française en 1852, après deux tentatives infructueuses en 1848 et 1850. Entre ces deux années, il entretient un lien affectif avec l'actrice Mlle Despréaux.
Récemment, il écrira encore quelques contes et quelques comédies : Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée, Bettine et Carmosine. La santé fragile et la dévotion à l'absinthe marqueront ses dernières années. Le signe de 'de Musset', c'est-à-dire des secousses rythmiques du cou et de la tête, utilisé en Semeiotica comme symptôme de l'insuffisance des valves aortiques, porte justement le nom du poète chez lequel il aurait été observé pour la première fois.[2]
Tombe d'Alfred de Musset au cimetière de Père-Lachaise
Il mourra, presque oublié, le 2 mai 1857, victime de tous ses excès. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise, à Paris. Dans ses dernières volontés, il avait exprimé le désir d'être enterré sous un saule; aujourd'hui, ce saule se trouve toujours là.
Les œuvres
1824 - À ma mère.
1826 - À Mademoiselle Zoé le Douairin.
1828 - Un rêve, l'Anglais mangeur d'opium.
1829 - Premières poésies.
1830 - Contes d'Espagne et d'Italie, La quittance du diable.
1831 - La coupe et les lèvres, Namouna.
1832 - Spectacle dans un fauteuil, À quoi rêvent les jeunes filles.
1833 - Les caprices de Marianne, Rolla, André del Sarto.
1833 - Gamiani (attribué).
1834 - Lorenzaccio, Fantasio, Non si scherza con l'amore, Une nuit vénitienne, Perdican, Camille et Perdican.
1835/37 - Les Nuits de mai.
1835 - La quenouille de Barberine, La nuit de mai, La nuit de décembre, Le chandelier.
1836 - Il ne faut jurer de rien, Lettre à M. de Lamartine, Faire sans dire, La nuit d'août, La confession d'un enfant du siècle
1837 - Un caprice, La nuit d'octobre, À la Malibran, Emmeline, Les deux maîtresses, Lettres à Dupuis et Cotonet.
1838 - Le fils du Titien, Frédéric et Bernerette, L'espoir en Dieu, Dupont et Durand, Margot.
1839 - Croisilles.
1840 - Tristesse, Une soirée perdue.
1841 - Souvenir.
1842 - Le voyage où il vous plaira, Sur la paresse, Histoire d'un merle blanc, Après une lecture.
1844 - Pierre et Camille, Le secret de Javotte, Les frères Van Bruck.
1845 - Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée, Mademoiselle Mimi Pinson.
1849 - Louison, L'Habit vert, On ne saurait penser à tout.
1850 - Poésies nouvelles, Carmosine.
1851 - Bettine, Faustine.
1853 - La mouche.
1854 - Contes.
1855 - La vie et l'espérance
1865 - Carmosine
Œuvre complète d'Alfred de Musset ; il manque le onzième et dernier volume, intitulé « L'œuvre d'Alfred de Musset. Extraits choisis et annotés en vue de la jeunesse, par un ancien professeur de l'Université ».
Dix volumes
Œuvres complètes d'Alfred de Musset
Premières Poésies, 1829-1835 - 1 volume
Poésies Nouvelles, 1835-1852 - 1 volume
Comédies et proverbes - 3 volumes
Nouvelles - 1 volume
Contes - 1 volume
La Confession d'un enfant du siècle - un volume
Mélanges de littérature et de critique - 1 volume
Oeuvres posthumes - 1 volume
Auteur : Alfred de Musset
Anno : 1897-1901
nouvelle édition
Casa Éditrice : Paris - Bibliothèque-Charpentier Eugene Fasquelle Éditeur
Dimensions : 18,7 x 12,0 cm
Pages : 3484
Total : 392 (Volume I) - 324 (Volume II) - 374 (Volume III) - 351 (Volume IV) - 359 (Volume V) - 350 (Volume VI) - 313 (Volume VII) - 355 (Volume VIII) - 404 (Volume IX) - 262 (Volume X)
Couvertures rigides non éditoriales avec nervures et titres au dos.
En excellent état : pages en excellent état, couvertures en excellent état (voir les photos).
Alfred Louis Charles de Musset-Pathay (Paris, 11 décembre 1810 – Paris, 2 mai 1857) était un poète, écrivain et dramaturge français, l'une des figures emblématiques du romantisme littéraire.
Appartenant à une famille aisée, affectueuse et raffinée, il est né à Paris en 1810. Son père, Victor de Musset, était un haut fonctionnaire du Ministère de la Guerre et un littérateur, connaisseur approfondi de Jean-Jacques Rousseau, dont il a édité les œuvres ; la figure de Rousseau sera fondamentale dans la formation du jeune Alfred. À sept ans, il a commencé à fréquenter le prestigieux Lycée Henri-IV et a commencé dès 1824 à écrire des vers ; en 1827, il a obtenu le deuxième prix de dissertation latine au Concours général, un prix destiné chaque année à récompenser les meilleurs élèves.
Après s'être essayé à la médecine, au droit, à l'étude de la langue anglaise et au piano, Musset abandonna rapidement ces disciplines car il n'était intéressé que par la littérature. À partir de 1828, il commença à fréquenter le salon de Charles Nodier à la Bibliothèque de l'Arsenal, où il rencontra Alfred de Vigny et Sainte-Beuve ; en raison de sa grande propension à l'écriture, il devint rapidement l'enfant prodige du romantisme français. À vingt ans, sa renommée littéraire, encore naissante, s'accompagnait déjà d'une vie désordonnée, marquée par une attitude de dandy, mais aussi par de graves problèmes d'alcoolisme. S'étant tourné vers la poésie à la fois par désir de vie mondaine et par véritable vocation, il ne s'engagea pleinement dans l'art qu'après la mort de son père, en 1832, victime d'une épidémie de choléra.
En 1830, année où eut lieu la célèbre Bataille d'Hernani en défense de l'œuvre de Victor Hugo, Musset tenta sa chance en écrivant pour le théâtre, qui à l'époque était le seul genre littéraire pouvant garantir un certain revenu aux auteurs ; mais, après l'échec de sa représentation Nuit Vénitienne, Musset dira « adieu aux scènes (et pour longtemps) » (d'une lettre à Prosper Chalas).
En 1833, lors d’un dîner auquel participaient les collaborateurs de la Revue des Deux Mondes, Musset fit la connaissance de George Sand ; après un séjour romantique passé avec elle à Fontainebleau, le couple partit pour l’Italie. À Venise, cependant, le poète tomba gravement malade et Sand le trahit en entrelaçant une relation avec le médecin qui le soignait, Pietro Pagello. Rentré seul à Paris, il ne fut rejoint par elle que quelques mois plus tard ; la réconciliation dura un peu moins d’un an, tourmentée par des disputes continues, et se termina en mars 1835.[1]
Les principaux ouvrages de sa période la plus prolifique, allant de 1832 à 1841, furent le drame romantique Lorenzaccio, publié en 1834 lors de sa relation tumultueuse avec George Sand, ainsi que Fantasio et On ne badine pas avec l'amour, tous deux publiés la même année. Il publia parallèlement son chef-d'œuvre lyrique Les Nuits (Nuits de mai, d'août, d'octobre, de décembre, 1835-1837), traitant de thèmes liés entre eux : la douleur, l'amour et l'inspiration, ainsi que le roman autobiographique La confession d'un fils du siècle (1836), peut-être son œuvre la plus célèbre.
Bibliothécaire au ministère de l'Intérieur sous la monarchie de juillet, il est démis de ses fonctions en 1848 ; il devient par la suite bibliothécaire au ministère de l'Éducation nationale sous le Second Empire. Il reçoit la Légion d'honneur le 24 avril 1845, à la même période où cette distinction est également attribuée à Honoré de Balzac, et il est élu à l'Académie française en 1852, après deux tentatives infructueuses en 1848 et 1850. Entre ces deux années, il entretient un lien affectif avec l'actrice Mlle Despréaux.
Récemment, il écrira encore quelques contes et quelques comédies : Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée, Bettine et Carmosine. La santé fragile et la dévotion à l'absinthe marqueront ses dernières années. Le signe de 'de Musset', c'est-à-dire des secousses rythmiques du cou et de la tête, utilisé en Semeiotica comme symptôme de l'insuffisance des valves aortiques, porte justement le nom du poète chez lequel il aurait été observé pour la première fois.[2]
Tombe d'Alfred de Musset au cimetière de Père-Lachaise
Il mourra, presque oublié, le 2 mai 1857, victime de tous ses excès. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise, à Paris. Dans ses dernières volontés, il avait exprimé le désir d'être enterré sous un saule; aujourd'hui, ce saule se trouve toujours là.
Les œuvres
1824 - À ma mère.
1826 - À Mademoiselle Zoé le Douairin.
1828 - Un rêve, l'Anglais mangeur d'opium.
1829 - Premières poésies.
1830 - Contes d'Espagne et d'Italie, La quittance du diable.
1831 - La coupe et les lèvres, Namouna.
1832 - Spectacle dans un fauteuil, À quoi rêvent les jeunes filles.
1833 - Les caprices de Marianne, Rolla, André del Sarto.
1833 - Gamiani (attribué).
1834 - Lorenzaccio, Fantasio, Non si scherza con l'amore, Une nuit vénitienne, Perdican, Camille et Perdican.
1835/37 - Les Nuits de mai.
1835 - La quenouille de Barberine, La nuit de mai, La nuit de décembre, Le chandelier.
1836 - Il ne faut jurer de rien, Lettre à M. de Lamartine, Faire sans dire, La nuit d'août, La confession d'un enfant du siècle
1837 - Un caprice, La nuit d'octobre, À la Malibran, Emmeline, Les deux maîtresses, Lettres à Dupuis et Cotonet.
1838 - Le fils du Titien, Frédéric et Bernerette, L'espoir en Dieu, Dupont et Durand, Margot.
1839 - Croisilles.
1840 - Tristesse, Une soirée perdue.
1841 - Souvenir.
1842 - Le voyage où il vous plaira, Sur la paresse, Histoire d'un merle blanc, Après une lecture.
1844 - Pierre et Camille, Le secret de Javotte, Les frères Van Bruck.
1845 - Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée, Mademoiselle Mimi Pinson.
1849 - Louison, L'Habit vert, On ne saurait penser à tout.
1850 - Poésies nouvelles, Carmosine.
1851 - Bettine, Faustine.
1853 - La mouche.
1854 - Contes.
1855 - La vie et l'espérance
1865 - Carmosine

