Federico Alibrio - A Sea of plastic






Plus de 10 ans d'expérience dans le commerce d'art; a fondé sa propre galerie.
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Federico Alibrio présente la sculpture en céramique « A Sea of plastic » (2025), une pièce unique bleu et blanc de 40 cm de largeur sur 30 cm de hauteur et 10 cm de profondeur, signée à la main, pouvant être accrochée au mur ou posée sur une table, accompagnée d’un certificat d’authenticité.
Description fournie par le vendeur
En contemplant cette œuvre, on est immédiatement frappé par sa puissante simplicité et son message profond. Federico Alibrio ne nous présente pas un simple objet d'art, mais un véritable manifeste tridimensionnel sur le drame environnemental qui se déroule chaque jour dans nos océans.
La vision de l'artiste
L'artiste a eu une intuition géniale : prendre le symbole le plus banal et destructeur de notre négligence — le sac en plastique — et le transformer en scène d'une tragédie. La sculpture en céramique est façonnée avec une texture qui reproduit parfaitement le sac froissé, mais elle est plongée dans une glaçure d’un bleu profond, presque noir, brillant et ondulé. Ce n’est pas l’eau cristalline dont nous rêvons ; c’est une eau qui paraît dense, polluée, une boue brillante de pétrole et de déchets dans laquelle la vie a du mal à respirer.
La lutte contre l'évasion
De cette masse bleutée émerge un détail qui brise le cœur : une queue de baleine (ou d’un grand cétacé), sculptée en blanc immaculé et brillant. La queue est élancée, presque vivante, mais son blanc est maculé d’une nuance bleue à l’endroit où elle plonge dans le plastique.
C'est comme si nous assistions au dernier, désespéré coup de queue de cet animal magnifique, une tentative ultime de se libérer d'un élément qui est devenu son nouvel habitat mortel. La baleine ne nage pas simplement dans la mer, elle lutte contre un océan de plastique qui l'a engloutie. L'œuvre capture l'instant précis où la beauté, la majesté et la pureté de la nature (symbolisées par le blanc de la queue) sont étouffées par notre déchet (le bleu foncé du sac).
Un objet qui interroge
La force de l'œuvre est renforcée par sa versatilité d'exposition. Qu'elle soit accrochée au mur comme un tableau qui nous fixe avec une réprimande silencieuse, ou qu'elle repose sur une table comme un avertissement qui irradie dans notre espace quotidien, elle nous oblige à confronter le problème.
Une mer de plastique nous demande : ce sac, ce déchet que nous ignorons un instant, est-il en train de devenir le suaire des océans ? C’est une œuvre qui, malgré son esthétique soignée, ne nous laisse pas indifférents, mais nous pousse à réfléchir à quel point nous sommes proches du point de non-retour. C’est un hymne à la beauté de la mer et, en même temps, une critique acerbe de notre impact sur elle.
L'œuvre a été conçue pour être suspendue au mur, mais elle peut également être posée sur une surface plane. En effet, à l'arrière, un trou permet de l'accrocher au mur.
L'œuvre sera envoyée avec un emballage soigné et le certificat d'authenticité correspondant.
L'artiste italien Federico Alibrio, né en 1995, est toujours à la recherche d'inspiration pour grandir avec de nouvelles expériences.
Diplômé en sculpture en 2021 à l'Académie des Beaux-Arts de Catane, il se consacre à la sculpture et à la peinture. Il a participé et participe à des expositions et symposiums de haut profil culturel, démontrant engagement et sérieux dans sa pratique sculpturale.
La réalité elle-même est la plus grande source d'inspiration. Sa passion est : les animaux sauvages (sensibles aux espèces en voie de disparition) et les arbres. Son objectif est de mettre en valeur la beauté de la nature.
En contemplant cette œuvre, on est immédiatement frappé par sa puissante simplicité et son message profond. Federico Alibrio ne nous présente pas un simple objet d'art, mais un véritable manifeste tridimensionnel sur le drame environnemental qui se déroule chaque jour dans nos océans.
La vision de l'artiste
L'artiste a eu une intuition géniale : prendre le symbole le plus banal et destructeur de notre négligence — le sac en plastique — et le transformer en scène d'une tragédie. La sculpture en céramique est façonnée avec une texture qui reproduit parfaitement le sac froissé, mais elle est plongée dans une glaçure d’un bleu profond, presque noir, brillant et ondulé. Ce n’est pas l’eau cristalline dont nous rêvons ; c’est une eau qui paraît dense, polluée, une boue brillante de pétrole et de déchets dans laquelle la vie a du mal à respirer.
La lutte contre l'évasion
De cette masse bleutée émerge un détail qui brise le cœur : une queue de baleine (ou d’un grand cétacé), sculptée en blanc immaculé et brillant. La queue est élancée, presque vivante, mais son blanc est maculé d’une nuance bleue à l’endroit où elle plonge dans le plastique.
C'est comme si nous assistions au dernier, désespéré coup de queue de cet animal magnifique, une tentative ultime de se libérer d'un élément qui est devenu son nouvel habitat mortel. La baleine ne nage pas simplement dans la mer, elle lutte contre un océan de plastique qui l'a engloutie. L'œuvre capture l'instant précis où la beauté, la majesté et la pureté de la nature (symbolisées par le blanc de la queue) sont étouffées par notre déchet (le bleu foncé du sac).
Un objet qui interroge
La force de l'œuvre est renforcée par sa versatilité d'exposition. Qu'elle soit accrochée au mur comme un tableau qui nous fixe avec une réprimande silencieuse, ou qu'elle repose sur une table comme un avertissement qui irradie dans notre espace quotidien, elle nous oblige à confronter le problème.
Une mer de plastique nous demande : ce sac, ce déchet que nous ignorons un instant, est-il en train de devenir le suaire des océans ? C’est une œuvre qui, malgré son esthétique soignée, ne nous laisse pas indifférents, mais nous pousse à réfléchir à quel point nous sommes proches du point de non-retour. C’est un hymne à la beauté de la mer et, en même temps, une critique acerbe de notre impact sur elle.
L'œuvre a été conçue pour être suspendue au mur, mais elle peut également être posée sur une surface plane. En effet, à l'arrière, un trou permet de l'accrocher au mur.
L'œuvre sera envoyée avec un emballage soigné et le certificat d'authenticité correspondant.
L'artiste italien Federico Alibrio, né en 1995, est toujours à la recherche d'inspiration pour grandir avec de nouvelles expériences.
Diplômé en sculpture en 2021 à l'Académie des Beaux-Arts de Catane, il se consacre à la sculpture et à la peinture. Il a participé et participe à des expositions et symposiums de haut profil culturel, démontrant engagement et sérieux dans sa pratique sculpturale.
La réalité elle-même est la plus grande source d'inspiration. Sa passion est : les animaux sauvages (sensibles aux espèces en voie de disparition) et les arbres. Son objectif est de mettre en valeur la beauté de la nature.
