Lou Atmån - Ambre - sans titre 01






Titulaire d'un master en histoire de l'art, avec plus de 10 ans en ventes aux enchères et galeries.
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Lou Atmån, Ambre - sans titre 01, tirage d’art limité à 4/25 mesurant 40 × 32 cm, nu, imprimé en 2024 sur papier FineArt Platine Fibre avec tirage numérique/IA, signé, accompagné d’un certificat d’authenticité, vendu directement par l’artiste.
Description fournie par le vendeur
Cette photographie de la série "Ambre" a été réalisée par l'artiste, en 2025. Elle est proposée en exclusivité sur le site de Catawiki. Elle est disponible sous forme de tirage d'Art sur papier FineArt Platine Fibre. Ce tirage présente l’aspect et le toucher du fameux papier baryté allié à un blanc pur, qui ont fait la réputation des plus grands photographes. C'est un papier 100% coton de qualité muséale, qui offre une densité des noirs et une restitution exceptionnelle des couleurs. Il est particulièrement adapté à la photographie fine art exigeante. Ce tirage signé de format 40x32 cm fait partie d'une édition limitée (/25). Il est accompagné d'un certificat d'authenticité.
L'artiste a exposé dans de nombreux salons d'art contemporain en France et à l'étranger. Son travail photographique reconnu est présent dans des collections privées. Elle a obtenu des prix internationaux, lui permettant un reconnaissance du milieu artistique.
série Ambre :
Dans un ballet aquatique, une femme à la chevelure flamboyante, parée d'une robe diaphane, semble se fondre avec l'onde bleue et lumineuse qui l'entoure. Chaque mouvement, empreint de grâce, évoque une néréide dansant au creux des profondeurs, où le mystère et la beauté se mêlent. La transparence de sa robe caresse l'eau, révélant une sensualité délicate, tandis que la lumière joue sur sa silhouette avec une poésie subtile et envoûtante. Une scène suspendue, entre rêve et réalité, où l'élégance flirte avec l'éternité.
Les photographies de Lou ressemblent à des énigmes. Les corps sont morcelés, floutés, ils se révèlent ou se cachent, se jouent de ce que l’on sait d’eux pour raconter autre chose. Mais raconter quoi ? Tout d’abord, des impressions : dans la série Opaline le furtif bonheur d’une apparition, celle d’un fragment de paysage solitaire dérobé de l’obscurité [..] Ce qu’il reste réellement du corps, c’est l’érotisme de cette peau photographiée, avec beaucoup de pudeur pourtant, comme une caresse, délicate comme un murmure. En ne devenant que pure forme, pure composition d’image, sa surface exprime l’invisible qui l’anime, mais se refuse à le nommer. Elle se contente d’être quête du regard, cette quête du regard comme métamorphose.
Hannibal Volkoff – commissaire de l’exposition
Cette photographie de la série "Ambre" a été réalisée par l'artiste, en 2025. Elle est proposée en exclusivité sur le site de Catawiki. Elle est disponible sous forme de tirage d'Art sur papier FineArt Platine Fibre. Ce tirage présente l’aspect et le toucher du fameux papier baryté allié à un blanc pur, qui ont fait la réputation des plus grands photographes. C'est un papier 100% coton de qualité muséale, qui offre une densité des noirs et une restitution exceptionnelle des couleurs. Il est particulièrement adapté à la photographie fine art exigeante. Ce tirage signé de format 40x32 cm fait partie d'une édition limitée (/25). Il est accompagné d'un certificat d'authenticité.
L'artiste a exposé dans de nombreux salons d'art contemporain en France et à l'étranger. Son travail photographique reconnu est présent dans des collections privées. Elle a obtenu des prix internationaux, lui permettant un reconnaissance du milieu artistique.
série Ambre :
Dans un ballet aquatique, une femme à la chevelure flamboyante, parée d'une robe diaphane, semble se fondre avec l'onde bleue et lumineuse qui l'entoure. Chaque mouvement, empreint de grâce, évoque une néréide dansant au creux des profondeurs, où le mystère et la beauté se mêlent. La transparence de sa robe caresse l'eau, révélant une sensualité délicate, tandis que la lumière joue sur sa silhouette avec une poésie subtile et envoûtante. Une scène suspendue, entre rêve et réalité, où l'élégance flirte avec l'éternité.
Les photographies de Lou ressemblent à des énigmes. Les corps sont morcelés, floutés, ils se révèlent ou se cachent, se jouent de ce que l’on sait d’eux pour raconter autre chose. Mais raconter quoi ? Tout d’abord, des impressions : dans la série Opaline le furtif bonheur d’une apparition, celle d’un fragment de paysage solitaire dérobé de l’obscurité [..] Ce qu’il reste réellement du corps, c’est l’érotisme de cette peau photographiée, avec beaucoup de pudeur pourtant, comme une caresse, délicate comme un murmure. En ne devenant que pure forme, pure composition d’image, sa surface exprime l’invisible qui l’anime, mais se refuse à le nommer. Elle se contente d’être quête du regard, cette quête du regard comme métamorphose.
Hannibal Volkoff – commissaire de l’exposition
